"Pour l'instant, je comprends que nous avons eu ce qu'on appelle un accès consulaire, ce qui signifie que des diplomates américains en Arabie saoudite lui ont rendu visite", a expliqué John Bolton, interrogé sur la chaîne CNN.
"Au-delà de ça, nous n'avons pas vraiment d'information complémentaire pour l'instant", a-t-il poursuivi.
Samedi, le New York Times avait affirmé, s'appuyant sur le témoignage anonyme d'un de ses amis, que Walid Fitaihi, détenu en Arabie saoudite, avait été torturé.
"Dr Fitaihi a dit à son ami qu'il avait été frappé, les yeux bandés, en sous-vêtements et attaché à une chaise. Il a été électrocuté dans ce qui apparaît être une unique séance de torture qui a duré environ une heure", écrit le quotidien.
Selon le NYT, ce médecin, formé à Harvard, a été emprisonné dans l'hôtel de luxe Ritz-Carlton de Ryad en novembre 2017. Il est toujours détenu par les autorités, sans procès ni accusations publiques, précise le journal, qui ajoute que la raison de sa détention n'était pas claire.
Une vaste campagne anticorruption avait été lancée subitement en Arabie saoudite en novembre 2017, sous l'impulsion du prince hériter, Mohammed ben Salmane.
L'hôtel de luxe Ritz-Carlton de Ryad servira pendant trois mois de "prison dorée" pour des dizaines de princes et hauts responsables au centre d'une purge. Nombre des suspects seront libérés après des "arrangements" financiers avec les autorités.
Dans son article, le quotidien new-yorkais note également que des familles et amis d'autres détenus ont décrit des épisodes de torture.
Cette information pourrait accentuer un peu plus la pression sur l'administration Trump, qui tient à son alliance stratégique avec Ryad, en dépit des soupçons pesant autour de la responsabilité de "MBS" dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
Afin de rallier des soutiens à son plan de paix au Proche-Orient, Jared Kushner, gendre et conseiller de Donald Trump a rencontré mardi à Ryad le roi Salmane et son fils, le prince héritier, pour la première fois depuis l'assassinat de M. Khashoggi.
Jamal Khashoggi, collaborateur du Washington Post, féroce critique du prince héritier, avait été assassiné au consulat de son pays à Istanbul en octobre 2018. Cette affaire avait profondément terni l'image du royaume mais Ryad dément catégoriquement toute responsabilité de Mohammed ben Salmane.
"Au-delà de ça, nous n'avons pas vraiment d'information complémentaire pour l'instant", a-t-il poursuivi.
Samedi, le New York Times avait affirmé, s'appuyant sur le témoignage anonyme d'un de ses amis, que Walid Fitaihi, détenu en Arabie saoudite, avait été torturé.
"Dr Fitaihi a dit à son ami qu'il avait été frappé, les yeux bandés, en sous-vêtements et attaché à une chaise. Il a été électrocuté dans ce qui apparaît être une unique séance de torture qui a duré environ une heure", écrit le quotidien.
Selon le NYT, ce médecin, formé à Harvard, a été emprisonné dans l'hôtel de luxe Ritz-Carlton de Ryad en novembre 2017. Il est toujours détenu par les autorités, sans procès ni accusations publiques, précise le journal, qui ajoute que la raison de sa détention n'était pas claire.
Une vaste campagne anticorruption avait été lancée subitement en Arabie saoudite en novembre 2017, sous l'impulsion du prince hériter, Mohammed ben Salmane.
L'hôtel de luxe Ritz-Carlton de Ryad servira pendant trois mois de "prison dorée" pour des dizaines de princes et hauts responsables au centre d'une purge. Nombre des suspects seront libérés après des "arrangements" financiers avec les autorités.
Dans son article, le quotidien new-yorkais note également que des familles et amis d'autres détenus ont décrit des épisodes de torture.
Cette information pourrait accentuer un peu plus la pression sur l'administration Trump, qui tient à son alliance stratégique avec Ryad, en dépit des soupçons pesant autour de la responsabilité de "MBS" dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.
Afin de rallier des soutiens à son plan de paix au Proche-Orient, Jared Kushner, gendre et conseiller de Donald Trump a rencontré mardi à Ryad le roi Salmane et son fils, le prince héritier, pour la première fois depuis l'assassinat de M. Khashoggi.
Jamal Khashoggi, collaborateur du Washington Post, féroce critique du prince héritier, avait été assassiné au consulat de son pays à Istanbul en octobre 2018. Cette affaire avait profondément terni l'image du royaume mais Ryad dément catégoriquement toute responsabilité de Mohammed ben Salmane.