A en croire Rhee Cheol-hee, député du Parti démocrate, 235 giga bytes de documents militaires ont été ainsi dérobés dans le Centre intégré de données militaires, écrit l‘agence de presse sud-coréenne.
Le contenu de 80% de ces données n‘a pas été identifié pour l‘instant, ajoute Yonhap, selon laquelle le piratage a eu lieu en septembre 2016. Pyongyang a démenti toute responsabilité dans les cyberattaques et reproché à Séoul de “fabriquer” des accusations dans ce domaine.
Le contenu de 80% de ces données n‘a pas été identifié pour l‘instant, ajoute Yonhap, selon laquelle le piratage a eu lieu en septembre 2016. Pyongyang a démenti toute responsabilité dans les cyberattaques et reproché à Séoul de “fabriquer” des accusations dans ce domaine.