"Des cibles factices vont être remorquées en mer aujourd'hui (samedi) en préparation des tests de missiles à tirs réels", a déclaré l'amiral Mahmoud Moussavi dans un entretien à la chaîne Press TV.
"Des missiles courte et longue portée sol-mer, mer-mer et sol-air, ainsi que des lance-roquettes, seront testés dans les prochains jours", a-t-il par ailleurs affirmé à la télévision d'Etat Irib.
Il n'a pas précisé quand ces tirs, initialement annoncés pour samedi, auraient lieu, soulignant toutefois qu'il s'agissait de tester l'efficacité opérationnelle des "missiles courte et longue portée".
Ces manoeuvres navales autour du détroit d'Ormuz, qui doivent se poursuivre jusqu'à lundi selon l'agence Isna, interviennent alors que Téhéran a menacé de fermer ce canal stratégique pour l'approvisionnement pétrolier.
Téhéran a menacé de fermer le détroit par où transite entre un tiers et 40% du trafic maritime pétrolier mondial en réponse aux nouvelles sanctions contre ses exportations pétrolières que les Etats-Unis et les pays européens voudraient adopter à cause de son programme nucléaire controversé.
L'Iran a affirmé que "pas une goutte de pétrole" ne transiterait par ce détroit, où 14 pétroliers transportant 17 millions de barils passent chaque jour actuellement, si les pays occidentaux mettaient en place un nouveau train de sanctions.
Des haut-gradés avaient assuré qu'il leur serait "très facile" de fermer Ormuz.
Le général Hassan Salami, numéro deux des Gardiens de la révolution, la force d'élite du régime islamique, a rejeté jeudi une mise en garde des Etats-Unis contre la fermeture du détroit, soulignant que l'Iran agirait avec détermination "pour défendre ses intérêts vitaux".
Les Etats-Unis avaient critiqué le "comportement irrationnel de l'Iran" et affirmé qu'"aucune perturbation du trafic maritime dans le détroit d'Ormuz ne sera tolérée".
Le détroit est particulièrement vulnérable en raison de sa faible largeur, 50 km environ, et de sa profondeur, qui n'excède pas soixante mètres.
"Des missiles courte et longue portée sol-mer, mer-mer et sol-air, ainsi que des lance-roquettes, seront testés dans les prochains jours", a-t-il par ailleurs affirmé à la télévision d'Etat Irib.
Il n'a pas précisé quand ces tirs, initialement annoncés pour samedi, auraient lieu, soulignant toutefois qu'il s'agissait de tester l'efficacité opérationnelle des "missiles courte et longue portée".
Ces manoeuvres navales autour du détroit d'Ormuz, qui doivent se poursuivre jusqu'à lundi selon l'agence Isna, interviennent alors que Téhéran a menacé de fermer ce canal stratégique pour l'approvisionnement pétrolier.
Téhéran a menacé de fermer le détroit par où transite entre un tiers et 40% du trafic maritime pétrolier mondial en réponse aux nouvelles sanctions contre ses exportations pétrolières que les Etats-Unis et les pays européens voudraient adopter à cause de son programme nucléaire controversé.
L'Iran a affirmé que "pas une goutte de pétrole" ne transiterait par ce détroit, où 14 pétroliers transportant 17 millions de barils passent chaque jour actuellement, si les pays occidentaux mettaient en place un nouveau train de sanctions.
Des haut-gradés avaient assuré qu'il leur serait "très facile" de fermer Ormuz.
Le général Hassan Salami, numéro deux des Gardiens de la révolution, la force d'élite du régime islamique, a rejeté jeudi une mise en garde des Etats-Unis contre la fermeture du détroit, soulignant que l'Iran agirait avec détermination "pour défendre ses intérêts vitaux".
Les Etats-Unis avaient critiqué le "comportement irrationnel de l'Iran" et affirmé qu'"aucune perturbation du trafic maritime dans le détroit d'Ormuz ne sera tolérée".
Le détroit est particulièrement vulnérable en raison de sa faible largeur, 50 km environ, et de sa profondeur, qui n'excède pas soixante mètres.