
Rafael Correa
Les photographes ont reçu des coups de poings et des coups de pieds.
Les mutins ont arraché à l'un des deux son appareil à photo et sa caméra vidéo, mais il a réussi à récupérer le premier en se débattant.
L'autre photographe a été arrêté brièvement par quatre agents, qui l'ont également frappé et obligé à effacer les photos qu'il avait prises des heurts entre policiers rebelles et partisans de Correa venus soutenir le chef de l'Etat.
"Ils m'ont envoyé du gaz (lacrymogène) dans les yeux et obligé à effacer les cartes" mémoires de l'appareil, a-t-il témoigné.
Les mutins ont arraché à l'un des deux son appareil à photo et sa caméra vidéo, mais il a réussi à récupérer le premier en se débattant.
L'autre photographe a été arrêté brièvement par quatre agents, qui l'ont également frappé et obligé à effacer les photos qu'il avait prises des heurts entre policiers rebelles et partisans de Correa venus soutenir le chef de l'Etat.
"Ils m'ont envoyé du gaz (lacrymogène) dans les yeux et obligé à effacer les cartes" mémoires de l'appareil, a-t-il témoigné.