Le polémiste, déjà condamné dans de multiples affaires, notamment à la suite de propos antisémites, pourra bénéficier d’une peine aménagée, sans passer par la case prison.
Les juges ont cette fois-ci retenu contre lui la fraude fiscale, le blanchiment, l’abus de bien social et l’organisation frauduleuse de son insolvabilité.
Sa compagne a pour sa part été condamnée à une peine de 18 mois de prison avec sursis doublée d’une interdiction de gérer pendant 10 ans - valable également pour Dieudonné - et leur société, Les Productions de la plume, à 50.000 euros d’amende.
Les avocats de l’humoriste n’ont pas répondu aux sollicitations de Reuters.
La procédure judiciaire avait démarré à la suite de signalements du service de renseignement de Bercy, Tracfin, portant sur des transferts suspects.
Durant leurs investigations, les enquêteurs ont mis au jour d’importants montants, notamment plus de 600.000 euros en espèces découverts en janvier 2014, lors d’une perquisition au domicile du couple, en Eure-et-Loir.
La défense de Dieudonné avait alors assuré que cet argent provenait de la billetterie des derniers spectacles de son client et que tout était légal.
Les juges ont cette fois-ci retenu contre lui la fraude fiscale, le blanchiment, l’abus de bien social et l’organisation frauduleuse de son insolvabilité.
Sa compagne a pour sa part été condamnée à une peine de 18 mois de prison avec sursis doublée d’une interdiction de gérer pendant 10 ans - valable également pour Dieudonné - et leur société, Les Productions de la plume, à 50.000 euros d’amende.
Les avocats de l’humoriste n’ont pas répondu aux sollicitations de Reuters.
La procédure judiciaire avait démarré à la suite de signalements du service de renseignement de Bercy, Tracfin, portant sur des transferts suspects.
Durant leurs investigations, les enquêteurs ont mis au jour d’importants montants, notamment plus de 600.000 euros en espèces découverts en janvier 2014, lors d’une perquisition au domicile du couple, en Eure-et-Loir.
La défense de Dieudonné avait alors assuré que cet argent provenait de la billetterie des derniers spectacles de son client et que tout était légal.