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Cette prise en charge par la PAF est un préalable probable à son expulsion vers l’Algérie, Paris et Alger étant en négociation depuis plusieurs semaines sur ce dossier.
“Il a été libéré ce matin vers 5h20 et pris en charge par la PAF”, a dit la source. “C’est un sujet désormais sous la responsabilité du ministère de l’Intérieur avec une dimension diplomatique assez hors normes”.
Djamel Beghal, un ressortissant franco-algérien déchu de sa nationalité française, purgeait une peine de 10 ans de prison pour avoir participé à un projet d’évasion d’un membre du Groupe islamique armé (GIA) algérien, Smaïn Aït Ali Belkacem, condamné à perpétuité pour un attentat dans le RER, à Paris, en 1995.
Il est également considéré comme le mentor de Chérif Kouachi, un des auteurs de l’attaque de janvier 2015 à Paris contre Charlie Hebdo, et d’Amedy Coulibaly, qui a tué quatre juifs dans une supérette et une policière à la même époque.
La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, avait déclaré que la France souhaitait l’expulser vers l’Algérie à sa sortie de prison et que, si l’Algérie refusait de l’accueillir, il serait assigné à résidence” c’est-à-dire placé sous “surveillance constante”.
Détenu à la prison de Vezin-le-Coquet (Ille-et-Vilaine), Djamel Beghal a obtenu, en avril, de la chambre d’application des peines de la cour d’appel de Rennes, une réduction de peine exceptionnelle de vingt jours, alors que sa sortie théorique était prévue le 5 août.
Il était donc libérable ce lundi, mais cette libération conditionnelle a été accordée sous condition suspensive de l’expulsion vers l’Algérie.
Si Alger refuse de le reprendre, la surveillance judiciaire ne pourra excéder 23 mois et 15 jours, total des remises de peine obtenues par Djamel Beghal au cours de sa détention.
“Il a été libéré ce matin vers 5h20 et pris en charge par la PAF”, a dit la source. “C’est un sujet désormais sous la responsabilité du ministère de l’Intérieur avec une dimension diplomatique assez hors normes”.
Djamel Beghal, un ressortissant franco-algérien déchu de sa nationalité française, purgeait une peine de 10 ans de prison pour avoir participé à un projet d’évasion d’un membre du Groupe islamique armé (GIA) algérien, Smaïn Aït Ali Belkacem, condamné à perpétuité pour un attentat dans le RER, à Paris, en 1995.
Il est également considéré comme le mentor de Chérif Kouachi, un des auteurs de l’attaque de janvier 2015 à Paris contre Charlie Hebdo, et d’Amedy Coulibaly, qui a tué quatre juifs dans une supérette et une policière à la même époque.
La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, avait déclaré que la France souhaitait l’expulser vers l’Algérie à sa sortie de prison et que, si l’Algérie refusait de l’accueillir, il serait assigné à résidence” c’est-à-dire placé sous “surveillance constante”.
Détenu à la prison de Vezin-le-Coquet (Ille-et-Vilaine), Djamel Beghal a obtenu, en avril, de la chambre d’application des peines de la cour d’appel de Rennes, une réduction de peine exceptionnelle de vingt jours, alors que sa sortie théorique était prévue le 5 août.
Il était donc libérable ce lundi, mais cette libération conditionnelle a été accordée sous condition suspensive de l’expulsion vers l’Algérie.
Si Alger refuse de le reprendre, la surveillance judiciaire ne pourra excéder 23 mois et 15 jours, total des remises de peine obtenues par Djamel Beghal au cours de sa détention.
