Yukiya Amano
"Lundi 17 mai, j'ai été informé qu'une déclaration avait été signée entre les Premier ministres d'Iran, de Turquie et du Brésil. Cette déclaration précise que l'Iran va écrire à l'AIEA dans un délai d'une semaine, j'attends donc cette communication écrite. C'est la situation aujourd'hui", a-t-il dit lors d'un point de presse en se refusant à tout commentaire sur cet accord ou sur le projet de sanctions examiné mardi à l'Onu.
Le responsable a loué le "leadership" du Brésil et de la Turquie dans ce dossier.
L'accord signé lundi prévoit l'échange en Turquie de 1.200 kilos d'uranium iranien faiblement enrichi (3,5%) contre 120 kilos de combustible enrichi à 20% fourni par les grandes puissances et destiné au réacteur de recherche nucléaire à des fins médicales de Téhéran.
L'AIEA avait proposé en octobre à l'Iran d'envoyer 1.200 kg d'uranium faiblement enrichi en Russie, pour y être enrichi à 20% avant d'être transformé par la France en combustible pour le réacteur de Téhéran.
L'Iran avait toutefois rejeté cette offre en invoquant un manque de garanties.
Interrogé sur une éventuelle actualisation de l'offre de l'AIEA, M. Amano a répondu qu'il était "trop tôt pour donner une indication".
Le responsable a loué le "leadership" du Brésil et de la Turquie dans ce dossier.
L'accord signé lundi prévoit l'échange en Turquie de 1.200 kilos d'uranium iranien faiblement enrichi (3,5%) contre 120 kilos de combustible enrichi à 20% fourni par les grandes puissances et destiné au réacteur de recherche nucléaire à des fins médicales de Téhéran.
L'AIEA avait proposé en octobre à l'Iran d'envoyer 1.200 kg d'uranium faiblement enrichi en Russie, pour y être enrichi à 20% avant d'être transformé par la France en combustible pour le réacteur de Téhéran.
L'Iran avait toutefois rejeté cette offre en invoquant un manque de garanties.
Interrogé sur une éventuelle actualisation de l'offre de l'AIEA, M. Amano a répondu qu'il était "trop tôt pour donner une indication".