
Selon le Quai d'Orsay, 85.000 Français étaient encore bloqués à l'étranger mardi matin.
"L'objectif est d'assurer (mercredi) 100% des vols long-courriers et 60% des vols moyen-courriers", a déclaré mardi le ministre de l'Ecologie et des Transports, Jean-Louis Borloo, à l'issue d'une réunion avec les professionnels du tourisme et du transport.
Mardi, le trafic long-courrier a été assuré à environ 90% et le trafic moyen-courrier à 30%, pour l'ensemble des compagnies, a précisé M. Borloo.
Air France prévoit notamment d'assurer mercredi 100% de son programme long-courrier, "la quasi-totalité" de ses vols moyens courriers, sauf vers l'Europe du Nord et du Nord-est (dont l'espace aérien reste fermé) et plus de la moitié de ses vols intérieurs.
A Roissy, mardi, les voyageurs rapatriés avaient laissé éclater leur joie de pouvoir enfin rentrer chez eux alors que, pour les partants, l'espoir était tempéré par l'incertitude sur l'heure, voire le jour où ils pourraient décrocher un vol.
Certains aéroports de province avaient également repris leur activité, les "navettes" (vols intérieurs à haute fréquence) vers les grandes villes de province devant être privilégiées.
En revanche, l'aviation d'affaires restait largement interdite de vol mardi, des autorisations n'étant attribuées que sur dérogation, tandis que les vols privés restaient autorisés, a-t-on appris de source professionnelle.
Le secrétaire d'Etat au Tourisme, Hervé Novelli, a chiffré mardi à "200 millions d'euros à ce jour" le coût des perturbations dues au nuage de cendres venu d'Islande pour les compagnies aériennes et les voyagistes en France.
"Les compagnies chiffrent à 150 millions d'euros l'impact sur leur résultat et les tour-opérateurs à 30 millions, auxquels d'ajoutent encore les agents de voyages", a détaillé M. Novelli.
"L'objectif est d'assurer (mercredi) 100% des vols long-courriers et 60% des vols moyen-courriers", a déclaré mardi le ministre de l'Ecologie et des Transports, Jean-Louis Borloo, à l'issue d'une réunion avec les professionnels du tourisme et du transport.
Mardi, le trafic long-courrier a été assuré à environ 90% et le trafic moyen-courrier à 30%, pour l'ensemble des compagnies, a précisé M. Borloo.
Air France prévoit notamment d'assurer mercredi 100% de son programme long-courrier, "la quasi-totalité" de ses vols moyens courriers, sauf vers l'Europe du Nord et du Nord-est (dont l'espace aérien reste fermé) et plus de la moitié de ses vols intérieurs.
A Roissy, mardi, les voyageurs rapatriés avaient laissé éclater leur joie de pouvoir enfin rentrer chez eux alors que, pour les partants, l'espoir était tempéré par l'incertitude sur l'heure, voire le jour où ils pourraient décrocher un vol.
Certains aéroports de province avaient également repris leur activité, les "navettes" (vols intérieurs à haute fréquence) vers les grandes villes de province devant être privilégiées.
En revanche, l'aviation d'affaires restait largement interdite de vol mardi, des autorisations n'étant attribuées que sur dérogation, tandis que les vols privés restaient autorisés, a-t-on appris de source professionnelle.
Le secrétaire d'Etat au Tourisme, Hervé Novelli, a chiffré mardi à "200 millions d'euros à ce jour" le coût des perturbations dues au nuage de cendres venu d'Islande pour les compagnies aériennes et les voyagistes en France.
"Les compagnies chiffrent à 150 millions d'euros l'impact sur leur résultat et les tour-opérateurs à 30 millions, auxquels d'ajoutent encore les agents de voyages", a détaillé M. Novelli.