François Fillon
"La vérité, c'est qu'il n'y a pas de complot. Il n'y a que l'intérêt national", a déclaré le Premier ministre en réponse à une question de Jean-Marc Ayrault, le patron des députés socialistes.
"L'intérêt national commande que les services de renseignement aient des moyens d'action pour lutter contre le terrorisme, des moyens d'action pour lutter contre l'espionnage, des moyens d'action pour lutter contre la criminalité organisée et cela dans le strict respect des libertés publiques", a-t-il ajouté.
"Ce strict respect des libertés publiques qui impose que les interceptions et toutes les données qui s'y rattachent soient strictement limitées et soient contrôlées de façon étroite. Voilà quelle est la ligne de conduite du gouvernement. Tout le reste ce ne sont que fantasmes", a aussi déclaré le chef du gouvernement.
Le directeur de cabinet de François Fillon a rappelé récemment au ministère de l'Intérieur les principes encadrant les écoutes. La Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) a confirmé auprès de l'AFP cette information de France Info.
"Le courrier de Jean-Paul Faugère rappelle la position" de la CNCIS sur les écoutes déjà précisée fin septembre, a expliqué à l'AFP Rémi Recio, le magistrat délégué auprès de la Commission.
"L'intérêt national commande que les services de renseignement aient des moyens d'action pour lutter contre le terrorisme, des moyens d'action pour lutter contre l'espionnage, des moyens d'action pour lutter contre la criminalité organisée et cela dans le strict respect des libertés publiques", a-t-il ajouté.
"Ce strict respect des libertés publiques qui impose que les interceptions et toutes les données qui s'y rattachent soient strictement limitées et soient contrôlées de façon étroite. Voilà quelle est la ligne de conduite du gouvernement. Tout le reste ce ne sont que fantasmes", a aussi déclaré le chef du gouvernement.
Le directeur de cabinet de François Fillon a rappelé récemment au ministère de l'Intérieur les principes encadrant les écoutes. La Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) a confirmé auprès de l'AFP cette information de France Info.
"Le courrier de Jean-Paul Faugère rappelle la position" de la CNCIS sur les écoutes déjà précisée fin septembre, a expliqué à l'AFP Rémi Recio, le magistrat délégué auprès de la Commission.