Un précédent bilan faisait état de deux morts mardi matin, des sympathisants de M. Morsi tués par balles par un inconnu. Toutes ces personnes ont été tuées aux abords de l'Université du Caire, dans le quartier de Guizeh, proche du centre ville.
S'y ajoutent quatre personnes qui ont perdu la vie lundi au Caire et dans une ville à la périphérie nord de la capitale, Qalioub, portant à dix au total les décès survenus lors de troubles en moins de 24 heures en Egypte.
Les abords de l'université, proches du centre-ville, sont, avec ceux de la mosquée Rabaa al-Adawiya dans le nord-est du Caire, l'un des deux sites occupés en permanence par les islamistes depuis trois semaines environ.
Les heurts de lundi près de la place Tahrir au Caire, épicentre de la révolte contre Hosni Moubarak début 2011 et depuis site de nombreux rassemblements politiques, ont également fait une trentaine blessés, selon les services d'urgence.
Quelque 150 personnes sont mortes dans des heurts liés aux troubles politiques depuis la fin du mois de juin.
Une quarantaine d'autres ont perdu la vie durant cette période dans la région instable du Sinaï, frontalière d'Israël et de la bande de Gaza, lors d'attaques contre l'armée et la police, ou lors d'opérations militaires contre des radicaux islamistes.
Les partisans de Mohamed Morsi réclament son retour après sa déposition par l'armée le 3 juillet dernier, en faisant valoir qu'il est le premier président égyptien à avoir été élu démocratiquement.
Ses adversaires estiment qu'il s'était disqualifié par sa gestion au profit de son seul camp, les Frères musulmans, et que les manifestations monstres fin juin pour réclamer son départ traduisaient sa perte de légitimité
S'y ajoutent quatre personnes qui ont perdu la vie lundi au Caire et dans une ville à la périphérie nord de la capitale, Qalioub, portant à dix au total les décès survenus lors de troubles en moins de 24 heures en Egypte.
Les abords de l'université, proches du centre-ville, sont, avec ceux de la mosquée Rabaa al-Adawiya dans le nord-est du Caire, l'un des deux sites occupés en permanence par les islamistes depuis trois semaines environ.
Les heurts de lundi près de la place Tahrir au Caire, épicentre de la révolte contre Hosni Moubarak début 2011 et depuis site de nombreux rassemblements politiques, ont également fait une trentaine blessés, selon les services d'urgence.
Quelque 150 personnes sont mortes dans des heurts liés aux troubles politiques depuis la fin du mois de juin.
Une quarantaine d'autres ont perdu la vie durant cette période dans la région instable du Sinaï, frontalière d'Israël et de la bande de Gaza, lors d'attaques contre l'armée et la police, ou lors d'opérations militaires contre des radicaux islamistes.
Les partisans de Mohamed Morsi réclament son retour après sa déposition par l'armée le 3 juillet dernier, en faisant valoir qu'il est le premier président égyptien à avoir été élu démocratiquement.
Ses adversaires estiment qu'il s'était disqualifié par sa gestion au profit de son seul camp, les Frères musulmans, et que les manifestations monstres fin juin pour réclamer son départ traduisaient sa perte de légitimité