Il a déclaré à la chaîne gouvernementale espérer que le gouvernement serait constitué "avant la fin de la semaine prochaine" pour "faire face au vide sécuritaire" et relancer le développement du pays.
M. Ganzouri, 78 ans et ancien chef de gouvernement sous Hosni Moubarak, a affirmé qu'il serait "très heureux d'avoir des jeunes à ses côtés".
Des dizaines de milliers d'Egyptiens se sont rassemblés vendredi au Caire pour réclamer le départ du pouvoir militaire, rejetant également son nouveau Premier ministre, à leurs yeux trop lié au régime Moubarak. Cette manifestation dite "de la dernière chance" s'est déroulée sans violences, après plusieurs jours marqués par de graves affrontements au Caire et dans d'autres villes, qui ont fait officiellement 41 morts et plus de 3.000 blessés.
Des centaines de protestataires ont bloqué dès vendredi soir l'entrée du siège du gouvernement pour empêcher M. Ganzouri d'y pénétrer, et s'apprêtaient à camper sur place.
"Dégage!", "Ganzouri est un feloul (vestige)", "Révolution!" scandaient les manifestants.
Plusieurs mouvements de jeunes ont présenté une liste de cinq noms pour le remplacer, parmi lesquels celui de Mohamed ElBaradei, ancien chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et prix Nobel de la Paix, qui s'est joint vendredi à la foule sur la place Tahrir.
M. Ganzouri, 78 ans et ancien chef de gouvernement sous Hosni Moubarak, a affirmé qu'il serait "très heureux d'avoir des jeunes à ses côtés".
Des dizaines de milliers d'Egyptiens se sont rassemblés vendredi au Caire pour réclamer le départ du pouvoir militaire, rejetant également son nouveau Premier ministre, à leurs yeux trop lié au régime Moubarak. Cette manifestation dite "de la dernière chance" s'est déroulée sans violences, après plusieurs jours marqués par de graves affrontements au Caire et dans d'autres villes, qui ont fait officiellement 41 morts et plus de 3.000 blessés.
Des centaines de protestataires ont bloqué dès vendredi soir l'entrée du siège du gouvernement pour empêcher M. Ganzouri d'y pénétrer, et s'apprêtaient à camper sur place.
"Dégage!", "Ganzouri est un feloul (vestige)", "Révolution!" scandaient les manifestants.
Plusieurs mouvements de jeunes ont présenté une liste de cinq noms pour le remplacer, parmi lesquels celui de Mohamed ElBaradei, ancien chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et prix Nobel de la Paix, qui s'est joint vendredi à la foule sur la place Tahrir.