L'Egypte doit "retrouver sa place naturelle dans le monde arabe, pour aider les peuples arabes à se bâtir un avenir brillant", a-t-il affirmé dans un discours.
L'Egypte "a malheureusement été absente des travaux des Arabes pendant un certain temps", a-t-il ajouté en ouvrant une réunion ministérielle de la Ligue arabe au Caire.
"Nous allons sortir de cette marginalisation qui a prévalu au cours des dernières décennies, et revenir au rôle naturel de l'Egypte", a-t-il ajouté, faisant allusion à l'époque de son prédécesseur Hosni Moubarak, président pendant trente ans avant d'être poussé à la démission par une révolte populaire en février 2011.
M. Morsi, issu du mouvement des Frères musulmans, a été élu en juin dernier à la tête du plus peuplé des pays arabes, avec près de 82 millions d'habitants. Il est le premier président du pays à ne pas venir de l'armée.
Le chef de l'Etat égyptien a déjà fait une entrée remarquée sur la scène internationale, avec en particulier la semaine dernière une visite en Chine suivie d'une escale en Iran.
Depuis Téhéran, ferme allié de Damas, il a fait sensation en condamnant sans ménagement le pouvoir "oppressif" en Syrie.
Mercredi, il a renouvelé devant la Ligue arabe son appel au départ du régime du président Bachar al-Assad, et plaidé pour une relance de l'unité arabe.
"Notre capacité en tant qu'Arabes à relever les défis actuels est largement liée à notre capacité à développer la coopération arabe", a-t-il encore déclaré.
"Nous devons être capables de réformer les mécanismes de la coopération arabe de manière à relancer, chez nous tous, l'unité arabe", a-il ajouté devant les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue.
M. Morsi, qui a effectué sa première visite à l'étranger en tant que président en Arabie saoudite en juillet, doit se rendre la semaine prochaine en visite officielle à Bruxelles et à Rome, puis doit aller aux Etats-Unis à partir du 23 septembre.
L'Egypte "a malheureusement été absente des travaux des Arabes pendant un certain temps", a-t-il ajouté en ouvrant une réunion ministérielle de la Ligue arabe au Caire.
"Nous allons sortir de cette marginalisation qui a prévalu au cours des dernières décennies, et revenir au rôle naturel de l'Egypte", a-t-il ajouté, faisant allusion à l'époque de son prédécesseur Hosni Moubarak, président pendant trente ans avant d'être poussé à la démission par une révolte populaire en février 2011.
M. Morsi, issu du mouvement des Frères musulmans, a été élu en juin dernier à la tête du plus peuplé des pays arabes, avec près de 82 millions d'habitants. Il est le premier président du pays à ne pas venir de l'armée.
Le chef de l'Etat égyptien a déjà fait une entrée remarquée sur la scène internationale, avec en particulier la semaine dernière une visite en Chine suivie d'une escale en Iran.
Depuis Téhéran, ferme allié de Damas, il a fait sensation en condamnant sans ménagement le pouvoir "oppressif" en Syrie.
Mercredi, il a renouvelé devant la Ligue arabe son appel au départ du régime du président Bachar al-Assad, et plaidé pour une relance de l'unité arabe.
"Notre capacité en tant qu'Arabes à relever les défis actuels est largement liée à notre capacité à développer la coopération arabe", a-t-il encore déclaré.
"Nous devons être capables de réformer les mécanismes de la coopération arabe de manière à relancer, chez nous tous, l'unité arabe", a-il ajouté devant les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue.
M. Morsi, qui a effectué sa première visite à l'étranger en tant que président en Arabie saoudite en juillet, doit se rendre la semaine prochaine en visite officielle à Bruxelles et à Rome, puis doit aller aux Etats-Unis à partir du 23 septembre.