Des centaines de policiers ont envahi le siège de la sécurité de cette grosse station balnéaire sur la mer Rouge, obligeant le chef de ce service à quitter les lieux par une porte dérobée, a-t-on
appris auprès de ses services.
Quelque 3.000 policiers ont par ailleurs continué de manifester, pour la deuxième journée consécutive, aux abords du ministère de l'Intérieur dans le centre du Caire, tandis que les piquets de
grève se sont multipliés devant les commissariats à travers le pays.
Plus de 30.000 policiers de grade subalterne ou intermédiaire, soit environ un dixième des effectifs nationaux, se sont mis en grève dans le pays, avec des revendications portant sur de
meilleurs salaires et conditions de travail, ainsi que sur le départ de cadres de la police et du ministère de l'Intérieur exerçant sous le régime du président Hosni Moubarak.
Ce mouvement survient alors que le pays fait face à un regain de conflits sociaux dans de nombreux secteurs, comme l'enseignement, l'industrie ou les transports, qui pèsent sur une économie
déjà en plein marasme du fait de la chute du tourisme, de l'effondrement des investissements étrangers et des incertitudes politique après la chute du président Moubarak en février.
appris auprès de ses services.
Quelque 3.000 policiers ont par ailleurs continué de manifester, pour la deuxième journée consécutive, aux abords du ministère de l'Intérieur dans le centre du Caire, tandis que les piquets de
grève se sont multipliés devant les commissariats à travers le pays.
Plus de 30.000 policiers de grade subalterne ou intermédiaire, soit environ un dixième des effectifs nationaux, se sont mis en grève dans le pays, avec des revendications portant sur de
meilleurs salaires et conditions de travail, ainsi que sur le départ de cadres de la police et du ministère de l'Intérieur exerçant sous le régime du président Hosni Moubarak.
Ce mouvement survient alors que le pays fait face à un regain de conflits sociaux dans de nombreux secteurs, comme l'enseignement, l'industrie ou les transports, qui pèsent sur une économie
déjà en plein marasme du fait de la chute du tourisme, de l'effondrement des investissements étrangers et des incertitudes politique après la chute du président Moubarak en février.