Le gouvernement a annoncé dans un communiqué qu'il respecterait la décision de la cour mais attendrait une notification officielle avant de l'appliquer.
Le président par intérim, Adly Mansour, avait déclaré l'état d'urgence le 14 août, à la suite des violences ayant suivi la dispersion dans le sang de rassemblements de partisans de Mohamed Morsi au Caire.
"Le gouvernement s'engage à appliquer les décisions de justice (...) le gouvernement attend de voir le texte de la décision", a dit le cabinet dans un communiqué.
L'état d'urgence qui donne de larges pouvoirs aux services de sécurité a été perçu comme un moyen de répression à l'encontre des partisans de M. Morsi.
Le président par intérim est sur le point de décréter une loi amendée régulant les mouvements de protestation, qui a déjà suscité de vives réactions de mécontentement même parmi les membres du gouvernement et de ses partisans.
Le président par intérim, Adly Mansour, avait déclaré l'état d'urgence le 14 août, à la suite des violences ayant suivi la dispersion dans le sang de rassemblements de partisans de Mohamed Morsi au Caire.
"Le gouvernement s'engage à appliquer les décisions de justice (...) le gouvernement attend de voir le texte de la décision", a dit le cabinet dans un communiqué.
L'état d'urgence qui donne de larges pouvoirs aux services de sécurité a été perçu comme un moyen de répression à l'encontre des partisans de M. Morsi.
Le président par intérim est sur le point de décréter une loi amendée régulant les mouvements de protestation, qui a déjà suscité de vives réactions de mécontentement même parmi les membres du gouvernement et de ses partisans.