Par ailleurs, un des conseillers du président Mohamed Morsi a indiqué que le chef de l'Etat s'adresserait jeudi à la nation.
Dans son intervention télévisée, M. Morsi doit tendre la main à l'opposition et appeler au dialogue, a précisé à l'AFP ce conseiller sans préciser si le président allait faire de nouvelles propositions. "Plusieurs idées sont sur la table", a-t-il dit sous le couvert de l'anonymat.
Des chars et véhicules blindés de la garde républicaine, une unité de l'armée chargée de protéger la présidence, ont été déployés devant le palais présidentiel après des heurts entre partisans et adversaires du président Mohamed Morsi, qui a divisé le pays en s'octroyant des pouvoirs exceptionnels.
"Les forces armées, et la garde républicaine, ne seront pas un outil de répression contre les manifestants", a indiqué le général Mohammed Zaki, chef de la garde républicaine, selon Mena.
Dans les pires violences depuis l'élection en juin de M. Morsi, au moins cinq manifestants ont été tués et des centaines blessés lors des heurts entre camps rivaux qui ont éclaté mercredi soir aux abords du palais, selon des sources officielles.
L'opposition, qui dénonce une dérive autoritaire du pouvoir, proteste aussi contre la tenue le 15 décembre d'un référendum sur un projet de Constitution, accusé d'offrir peu de garanties pour les libertés d'expression et de religion et d'ouvrir la voie à une application plus étendue de la loi islamique.
Dans son intervention télévisée, M. Morsi doit tendre la main à l'opposition et appeler au dialogue, a précisé à l'AFP ce conseiller sans préciser si le président allait faire de nouvelles propositions. "Plusieurs idées sont sur la table", a-t-il dit sous le couvert de l'anonymat.
Des chars et véhicules blindés de la garde républicaine, une unité de l'armée chargée de protéger la présidence, ont été déployés devant le palais présidentiel après des heurts entre partisans et adversaires du président Mohamed Morsi, qui a divisé le pays en s'octroyant des pouvoirs exceptionnels.
"Les forces armées, et la garde républicaine, ne seront pas un outil de répression contre les manifestants", a indiqué le général Mohammed Zaki, chef de la garde républicaine, selon Mena.
Dans les pires violences depuis l'élection en juin de M. Morsi, au moins cinq manifestants ont été tués et des centaines blessés lors des heurts entre camps rivaux qui ont éclaté mercredi soir aux abords du palais, selon des sources officielles.
L'opposition, qui dénonce une dérive autoritaire du pouvoir, proteste aussi contre la tenue le 15 décembre d'un référendum sur un projet de Constitution, accusé d'offrir peu de garanties pour les libertés d'expression et de religion et d'ouvrir la voie à une application plus étendue de la loi islamique.