
"Deux d'entre eux ont été interpellés pendant la manifestation" qui se déroulait dans la capitale, a déclaré à l'AFP Nathalie Lenfant, porte parole de France 24.
Un troisième, légèrement blessé par un manifestant, a été emmené sur un scooter, mais a été "arrêté à un barrage", a-t-elle ajouté.
La chaîne ignorait mercredi soir les motivations de ces interpellations.
Par ailleurs une équipe de France 2 a été "prise à partie mercredi soir, à un barrage", alors qu'elle revenait d'un reportage à Suez, a-t-on appris auprès de Thierry Thuillier, directeur général des rédactions de France-Télévisions.
Alors qu'un policier vérifiait leurs passeports, des personnes ont commencé à taper sur leur voiture et à l'endommager. M. Thuillier n'a pu préciser s'il s'agissait de partisans d'Hosni Moubarak ou de manifestants qui lui sont hostiles, ou encore s'il s'agissait de simple brigandage.
Les trois journalistes et leur guide "se sont échappés" sous les coups. Deux journalistes ont souffert de contusions et d'écorchures, le troisième a reçu un coup au crâne par un objet contondant. Tous trois ont été emmenés à l'hôpital militaire par l'armée, selon la même source.
"Le journaliste blessé va bien, on lui a fait 3/4 points de suture, je lui ai parlé", a indiqué Thierry Thuillier. Tous les trois devraient passer la nuit à l'hôpital, "pour leur sécurité", a précisé le directeur des rédactions.
Un troisième, légèrement blessé par un manifestant, a été emmené sur un scooter, mais a été "arrêté à un barrage", a-t-elle ajouté.
La chaîne ignorait mercredi soir les motivations de ces interpellations.
Par ailleurs une équipe de France 2 a été "prise à partie mercredi soir, à un barrage", alors qu'elle revenait d'un reportage à Suez, a-t-on appris auprès de Thierry Thuillier, directeur général des rédactions de France-Télévisions.
Alors qu'un policier vérifiait leurs passeports, des personnes ont commencé à taper sur leur voiture et à l'endommager. M. Thuillier n'a pu préciser s'il s'agissait de partisans d'Hosni Moubarak ou de manifestants qui lui sont hostiles, ou encore s'il s'agissait de simple brigandage.
Les trois journalistes et leur guide "se sont échappés" sous les coups. Deux journalistes ont souffert de contusions et d'écorchures, le troisième a reçu un coup au crâne par un objet contondant. Tous trois ont été emmenés à l'hôpital militaire par l'armée, selon la même source.
"Le journaliste blessé va bien, on lui a fait 3/4 points de suture, je lui ai parlé", a indiqué Thierry Thuillier. Tous les trois devraient passer la nuit à l'hôpital, "pour leur sécurité", a précisé le directeur des rédactions.