Accueil
Actus
Abderrahmane Farès a été interpellé dans le Fayyoum, au sud-est du Caire, a précisé ce responsable sous couvert de l'anonymat.
Un message sur le blog du jeune homme (http://abdofares.blogspot.com) indique qu'il a été arrêté à son domicile "en raison de son appel à la grève générale le 6 avril" et qu'il a commencé une grève de la faim.
Quatre étudiants ont en outre été interpellés dimanche pour les mêmes raisons, trois à Alexandrie (nord) et un à Port-Saïd (nord-est), selon le responsable des services de sécurité.
Ces dernières arrestations portent à 32 en moins d'une semaine le nombre de personnes interpellées pour leur soutien à une "Journée de la colère en Egypte".
Samedi, la police a arrêté 25 étudiants lors d'un sit-in devant un tribunal de la ville de Kafr el-Cheikh, dans le delta du Nil, pour protester contre l'arrestation de deux étudiantes.
Ces dernières, Omneya Ahmed Taha Ghazi et Sara Mohammed Rizk, ont été relâchées dimanche. Elles avaient été arrêtées jeudi pendant qu'elles distribuaient des tracts appelant à participer à la grève du 6 avril.
En avril dernier, des émeutes avaient eu lieu en marge d'une journée de grève nationale dans la ville de Mahalla, dans le delta du Nil. Trois personnes avaient été tuées et des centaines avaient été arrêtées.
Cette année, les activistes, appuyés par le principal groupe d'opposition en Egypte, les Frères musulmans, réclament notamment que le salaire minimum soit porté à 1.200 livres égyptiennes (213 dollars) contre 29 dollars actuellement.
Un message sur le blog du jeune homme (http://abdofares.blogspot.com) indique qu'il a été arrêté à son domicile "en raison de son appel à la grève générale le 6 avril" et qu'il a commencé une grève de la faim.
Quatre étudiants ont en outre été interpellés dimanche pour les mêmes raisons, trois à Alexandrie (nord) et un à Port-Saïd (nord-est), selon le responsable des services de sécurité.
Ces dernières arrestations portent à 32 en moins d'une semaine le nombre de personnes interpellées pour leur soutien à une "Journée de la colère en Egypte".
Samedi, la police a arrêté 25 étudiants lors d'un sit-in devant un tribunal de la ville de Kafr el-Cheikh, dans le delta du Nil, pour protester contre l'arrestation de deux étudiantes.
Ces dernières, Omneya Ahmed Taha Ghazi et Sara Mohammed Rizk, ont été relâchées dimanche. Elles avaient été arrêtées jeudi pendant qu'elles distribuaient des tracts appelant à participer à la grève du 6 avril.
En avril dernier, des émeutes avaient eu lieu en marge d'une journée de grève nationale dans la ville de Mahalla, dans le delta du Nil. Trois personnes avaient été tuées et des centaines avaient été arrêtées.
Cette année, les activistes, appuyés par le principal groupe d'opposition en Egypte, les Frères musulmans, réclament notamment que le salaire minimum soit porté à 1.200 livres égyptiennes (213 dollars) contre 29 dollars actuellement.
