Hosni Moubarak
Aucune date fixe n'a encore été déterminée pour l'élection présidentielle, mais le Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui a pris les rênes du pays après la chute du régime de Hosni Moubarak en février 20011, l'a annoncée pour avant fin juin.
Le Conseil consultatif, créé par le CSFA et composé de 30 intellectuels et personnalités politiques, a "présenté lundi au pouvoir militaire des propositions spécifiques pour la présidentielle afin qu'il prenne les décisions nécessaires", a dit à l'AFP le porte-parole Mohammed al-Kholi.
Il a proposé "de tenir la présidentielle le 16 mai, avec un éventuel second tour le 23 du même mois (si aucun des candidats n'a la majorité absolue), avec le transfert du pouvoir à un président élu début juin au lieu du début juillet".
Le porte-parole a ajouté que le Conseil consultatif, créé en septembre, devrait également reprendre ses réunions dans une semaine pour discuter de la mise en place de l'instance de 100 membres qui sera chargée de rédiger la future Constitution.
Selon la nouvelle loi électorale, seuls les Egyptiens ne possédant pas une double nationalité pourront être candidats à la présidentielle. Tout parti représenté au Parlement a le droit de désigner un candidat, les autres candidats devant recevoir le soutien d'au moins 30 parlementaires ou de 30.000 électeurs.
Les principaux candidats sont l'ex-chef de la Ligue arabe, Amr Moussa, un ancien responsable des Frères musulmans, Abdelmoneim Aboul Fotouh, le dernier Premier ministre de Moubarak, Ahmad Chafic, le dirigeant salafiste Hazem Salah Abou Ismaïl, le dirigeant nassérien Hamdine Sabbahi et l'islamiste indépendant Salim al-Awwa.
MM. Moussa et Awwa font partie du Conseil consultatif.
Le dépô t des candidatures débutera le 15 avril.
Les Frères musulmans, grands vainqueurs des récentes législatives, doivent encore annoncer leur candidat.
Le Conseil consultatif, créé par le CSFA et composé de 30 intellectuels et personnalités politiques, a "présenté lundi au pouvoir militaire des propositions spécifiques pour la présidentielle afin qu'il prenne les décisions nécessaires", a dit à l'AFP le porte-parole Mohammed al-Kholi.
Il a proposé "de tenir la présidentielle le 16 mai, avec un éventuel second tour le 23 du même mois (si aucun des candidats n'a la majorité absolue), avec le transfert du pouvoir à un président élu début juin au lieu du début juillet".
Le porte-parole a ajouté que le Conseil consultatif, créé en septembre, devrait également reprendre ses réunions dans une semaine pour discuter de la mise en place de l'instance de 100 membres qui sera chargée de rédiger la future Constitution.
Selon la nouvelle loi électorale, seuls les Egyptiens ne possédant pas une double nationalité pourront être candidats à la présidentielle. Tout parti représenté au Parlement a le droit de désigner un candidat, les autres candidats devant recevoir le soutien d'au moins 30 parlementaires ou de 30.000 électeurs.
Les principaux candidats sont l'ex-chef de la Ligue arabe, Amr Moussa, un ancien responsable des Frères musulmans, Abdelmoneim Aboul Fotouh, le dernier Premier ministre de Moubarak, Ahmad Chafic, le dirigeant salafiste Hazem Salah Abou Ismaïl, le dirigeant nassérien Hamdine Sabbahi et l'islamiste indépendant Salim al-Awwa.
MM. Moussa et Awwa font partie du Conseil consultatif.
Le dépô t des candidatures débutera le 15 avril.
Les Frères musulmans, grands vainqueurs des récentes législatives, doivent encore annoncer leur candidat.