Seif al-Islam
Selon le fils du dirigeant libyen qui a été présenté comme un successeur possible à son père âgé de 68 ans, "des élections pourraient se tenir dans les trois mois. Au maximum d'ici la fin de l'année. Et la garantie de leur transparence pourrait être la présence d'observateurs internationaux".
"Nous ne nous formalisons pas sur lesquels (observateurs). Nous acceptons l'Union européenne, l'Union africaine, les Nations Unies, même l'OTAN, l'important étant que le scrutin soit propre, qu'il n'y ait pas de soupçons d'embrouilles", a ajouté Seif al-Islam, que le journal italien a interviewé mardi à l'hô tel Radisson Blu à Tripoli, alors que la personnalité annoncée pour l'interview était le ministre des Affaires étrangères Abdelati al-Obeïdi.
Seif al-Islam ajoute qu'"un mécanisme devra être mis en place" pour garantir l'intégrité des chefs de l'opposition pour ce scrutin.
La rébellion a encore remporté de nouveaux succès mercredi dans l'ouest de la Libye en prenant le contrô le de localités sur la route de Tripoli, au moment où les raids de l'Otan se poursuivent et où le régime paraît sérieusement affaibli.
"Nous ne nous formalisons pas sur lesquels (observateurs). Nous acceptons l'Union européenne, l'Union africaine, les Nations Unies, même l'OTAN, l'important étant que le scrutin soit propre, qu'il n'y ait pas de soupçons d'embrouilles", a ajouté Seif al-Islam, que le journal italien a interviewé mardi à l'hô tel Radisson Blu à Tripoli, alors que la personnalité annoncée pour l'interview était le ministre des Affaires étrangères Abdelati al-Obeïdi.
Seif al-Islam ajoute qu'"un mécanisme devra être mis en place" pour garantir l'intégrité des chefs de l'opposition pour ce scrutin.
La rébellion a encore remporté de nouveaux succès mercredi dans l'ouest de la Libye en prenant le contrô le de localités sur la route de Tripoli, au moment où les raids de l'Otan se poursuivent et où le régime paraît sérieusement affaibli.