Venue à Bombay soutenir une fondation de lutte contre la faim, elle a déclaré se sentir "très bien" et bien envisager l'avenir, dans ses premières déclarations après l'annonce de sa rupture avec le chef de l'Etat français.
Après avoir évité de s'exprimer sur ce sujet au début de sa visite, la journaliste est revenue brièvement sur cette expérience, au cours d'une conférence de presse de lancement d'une fondation parrainée par l'ONG Action contre la faim.
"Le bilan, je ne sais pas si c'est à moi de le faire, ou à vous", a-t-elle dit aux journalistes.
"J'y suis restée dix-neuf mois et je crois que j'ai pu découvrir des gens que je ne connaissais pas et même une partie de moi-même que j'ignorais. Je ne sortirai pas de cette expérience de la même façon qu'avant".
Elle estime avoir "le temps" avant d'envisager son avenir et dit ne jamais avoir pensé à renoncer à son déplacement, qui s'est déroulé en présence d'une foule de journalistes et de photographes.
"Je me sens très bien ici, ce voyage était programmé depuis six mois et envisagé depuis un an, pour rien au monde je n'aurais failli à cet engagement", a dit Mme Trierweiler.
"Je remercie les journalistes français d'être venus s'intéresser à la malnutrition", a-t-elle lancé, rappelant qu'elle était déjà venue trois fois en Inde.
"Je suis venue la première fois comme journaliste, la deuxième fois comme première dame et la troisième fois, qualifiez-le comme vous voulez", a-t-elle déclaré.
La séparation d'avec Valérie Trierweiler annoncée samedi par le chef de l'Etat a suscité le soulagement à gauche, mais des commentaires plus sévères dans l'opposition.
"Clarification nécessaire"
Le Parti socialiste a vu dans cette étape une "clarification nécessaire", son premier secrétaire Harlem Désir parlant de François Hollande comme d'un homme "très sensible" en réponse aux attaques.
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP (droite) à la mairie de Paris, avait ainsi vu dans l'annonce de François Hollande "une lettre de licenciement" plus que de rupture tandis que le député UMP (Union pour un mouvement populaire) Henri Guaino parlait de "répudiation".
Samedi, le chef de l'Etat français a annoncé qu'il mettait "fin à la vie commune qu'il partageait avec Valérie Trierweiler".
Arrivée dans la nuit de dimanche à lundi à Bombay, Valérie Trierweiler a visité un hôpital de référence dans la prise en charge des prématurés avant de se rendre dans un centre de malnutrition situé dans un bidonville de la mégalopole indienne.
Apparue souriante et un peu fatiguée, elle a déclaré avoir été "bouleversée" par cette visite dans le service de prénatalité.
"Lorsque j'ai pris ce matin cet enfant dans les bras, ce bébé vraiment en grande souffrance de malnutrition, j'ai été bouleversée et je crois que c'est le moment le plus fort que j'aurai vécu en rentrant de ce voyage", a déclaré l'ancienne compagne du chef de l'Etat.
Je vais continuer ce combat
Les journalistes n'ont pas été autorisés à pénétrer dans le service et se pressaient dans le couloir, où des patients assis sur des bancs de bois regardaient la cohue, médusés.
En visite dans un centre de nutrition, elle en est ressortie avec un paquet de la pâte nutritionnelle donnée aux enfants pour améliorer leur état de santé et a goûté l'une de ces pâtes.
Priée de dire si elle allait continuer à s'engager dans la lutte contre la malnutrition elle a répondu : "cela fait trois ans (...), je vais continuer ce combat".
Accompagnée notamment de la comédienne Charlotte Valandrey, Valérie Trierweiller devait assister dans la soirée à un dîner de charité à l'hôtel Taj Mahal.
Valérie Trierweiler n'était plus apparue en public depuis les révélations de l'hebdomadaire people Closer sur la liaison de François Hollande avec l'actrice française Julie Gayet, à la mi-janvier.
Après avoir évité de s'exprimer sur ce sujet au début de sa visite, la journaliste est revenue brièvement sur cette expérience, au cours d'une conférence de presse de lancement d'une fondation parrainée par l'ONG Action contre la faim.
"Le bilan, je ne sais pas si c'est à moi de le faire, ou à vous", a-t-elle dit aux journalistes.
"J'y suis restée dix-neuf mois et je crois que j'ai pu découvrir des gens que je ne connaissais pas et même une partie de moi-même que j'ignorais. Je ne sortirai pas de cette expérience de la même façon qu'avant".
Elle estime avoir "le temps" avant d'envisager son avenir et dit ne jamais avoir pensé à renoncer à son déplacement, qui s'est déroulé en présence d'une foule de journalistes et de photographes.
"Je me sens très bien ici, ce voyage était programmé depuis six mois et envisagé depuis un an, pour rien au monde je n'aurais failli à cet engagement", a dit Mme Trierweiler.
"Je remercie les journalistes français d'être venus s'intéresser à la malnutrition", a-t-elle lancé, rappelant qu'elle était déjà venue trois fois en Inde.
"Je suis venue la première fois comme journaliste, la deuxième fois comme première dame et la troisième fois, qualifiez-le comme vous voulez", a-t-elle déclaré.
La séparation d'avec Valérie Trierweiler annoncée samedi par le chef de l'Etat a suscité le soulagement à gauche, mais des commentaires plus sévères dans l'opposition.
"Clarification nécessaire"
Le Parti socialiste a vu dans cette étape une "clarification nécessaire", son premier secrétaire Harlem Désir parlant de François Hollande comme d'un homme "très sensible" en réponse aux attaques.
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP (droite) à la mairie de Paris, avait ainsi vu dans l'annonce de François Hollande "une lettre de licenciement" plus que de rupture tandis que le député UMP (Union pour un mouvement populaire) Henri Guaino parlait de "répudiation".
Samedi, le chef de l'Etat français a annoncé qu'il mettait "fin à la vie commune qu'il partageait avec Valérie Trierweiler".
Arrivée dans la nuit de dimanche à lundi à Bombay, Valérie Trierweiler a visité un hôpital de référence dans la prise en charge des prématurés avant de se rendre dans un centre de malnutrition situé dans un bidonville de la mégalopole indienne.
Apparue souriante et un peu fatiguée, elle a déclaré avoir été "bouleversée" par cette visite dans le service de prénatalité.
"Lorsque j'ai pris ce matin cet enfant dans les bras, ce bébé vraiment en grande souffrance de malnutrition, j'ai été bouleversée et je crois que c'est le moment le plus fort que j'aurai vécu en rentrant de ce voyage", a déclaré l'ancienne compagne du chef de l'Etat.
Je vais continuer ce combat
Les journalistes n'ont pas été autorisés à pénétrer dans le service et se pressaient dans le couloir, où des patients assis sur des bancs de bois regardaient la cohue, médusés.
En visite dans un centre de nutrition, elle en est ressortie avec un paquet de la pâte nutritionnelle donnée aux enfants pour améliorer leur état de santé et a goûté l'une de ces pâtes.
Priée de dire si elle allait continuer à s'engager dans la lutte contre la malnutrition elle a répondu : "cela fait trois ans (...), je vais continuer ce combat".
Accompagnée notamment de la comédienne Charlotte Valandrey, Valérie Trierweiller devait assister dans la soirée à un dîner de charité à l'hôtel Taj Mahal.
Valérie Trierweiler n'était plus apparue en public depuis les révélations de l'hebdomadaire people Closer sur la liaison de François Hollande avec l'actrice française Julie Gayet, à la mi-janvier.