Jean-Michel André, père d'Elise, la fillette franco-russe enlevée, a déclaré vendredi, lors d'une conférence de presse vidéo organisée par RIA Novosti, qu'il comprenait son ex-épouse, la Russe Irina Belenkaïa qui est, selon lui, derrière l'enlèvement, mais l'a exhortée à ne pas priver la fillette de l'amour paternel.
"Je crois effectivement que je comprends les sentiments qu'éprouve ma femme", a dit le père de la fillette, répondant à une question du journaliste de RIA Novosti qui lui demandait s'il comprenait sa femme.
"Mais ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est que le désir (d'Irina Belenkaïa) de me punir ait été violent au point de priver sa fille de toute possibilité de voir son père", a avoué J.-M. André.
Il s'est dit persuadé qu'"Elise pourrait grandir et continuer à vivre entre la Russie et la France, gardée à tour de rôle par ses parents".
"Je te le répète : pense à Liz [...] Il ne faut pas décider pour les autres. Ne pense pas que tu fais du bien aux autres", a imploré M.André, s'adressant à son ex-épouse.
Enlèvement d'Elise : le père prêt à un accord amiable
"Si la justice (russe) vous permet de voir votre fille, êtes-vous prêt à un accord amiable?" lui a demandé un journaliste lors d'une conférence de presse vidéo organisée par RIA Novosti. "Oui, bien sûr, cela va de soi", a répondu M. André, dont les propos ont été retraduits du russe.
Celui-ci a une nouvelle fois accusé son ex-épouse, la Russe Irina Belenkaïa, d'être derrière l'enlèvement, et a insisté pour que les deux parents participent à l'éducation de la fillette. Il a par ailleurs appelé la justice russe à parvenir à un accord juridique russo-français réglementant la situation des enfants nés de parents de différentes nationalités.
M. André a raconté vendredi avoir reçu une lettre électronique envoyée à partir de la boîte de son ex-épouse qui contenait des insultes et la phrase "Oublie-la".
"Je crois effectivement que je comprends les sentiments qu'éprouve ma femme", a dit le père de la fillette, répondant à une question du journaliste de RIA Novosti qui lui demandait s'il comprenait sa femme.
"Mais ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est que le désir (d'Irina Belenkaïa) de me punir ait été violent au point de priver sa fille de toute possibilité de voir son père", a avoué J.-M. André.
Il s'est dit persuadé qu'"Elise pourrait grandir et continuer à vivre entre la Russie et la France, gardée à tour de rôle par ses parents".
"Je te le répète : pense à Liz [...] Il ne faut pas décider pour les autres. Ne pense pas que tu fais du bien aux autres", a imploré M.André, s'adressant à son ex-épouse.
Enlèvement d'Elise : le père prêt à un accord amiable
"Si la justice (russe) vous permet de voir votre fille, êtes-vous prêt à un accord amiable?" lui a demandé un journaliste lors d'une conférence de presse vidéo organisée par RIA Novosti. "Oui, bien sûr, cela va de soi", a répondu M. André, dont les propos ont été retraduits du russe.
Celui-ci a une nouvelle fois accusé son ex-épouse, la Russe Irina Belenkaïa, d'être derrière l'enlèvement, et a insisté pour que les deux parents participent à l'éducation de la fillette. Il a par ailleurs appelé la justice russe à parvenir à un accord juridique russo-français réglementant la situation des enfants nés de parents de différentes nationalités.
M. André a raconté vendredi avoir reçu une lettre électronique envoyée à partir de la boîte de son ex-épouse qui contenait des insultes et la phrase "Oublie-la".