"La tour de service est en cours d'assemblage à Peresvet, dans la région de Moscou. Elle est haute de 55 m et son poids total atteint 560 t. Les essais débuteront le 3 avril", est-il indiqué dans un communiqué de Roskosmos.
Après les tests, la tour sera adaptée au climat tropical et envoyée en Guyane Française.
Un responsable de l'entreprise russe chargée de la réalisation du projet a annoncé plus tôt que le premier tir d'un lanceur moyen russe Soyouz-ST depuis Kourou qui devait être effectué pour le compte de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) à la fin de 2009 serait reporté au début de 2010 pour des raisons qui ne dépendent pas des spécialistes russes.
Dans le même temps, le directeur de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) Jean-Jacques Dordain a noté que le premier tir d'un Soyouz depuis Kourou serait effectué dans les délais prévus. Selon lui, le directeur de l'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos) Anatoli Perminov contrôle personnellement les travaux de préparation de la tour de service et le premier tir aura lieu à la fin de 2009, si on arrive à adapter la tour au climat tropical.
Le pas de tir équatorial des Soyouz-ST est pratiquement prêt. Il se trouve dans un endroit idéal - 5 degrés de longitude nord et 52 degrés de latitude ouest - non loin du site français destiné au lancement de la fusée-porteuse Ariane.
La Russie doit formuler les exigences concernant les pas de tir des Soyouz depuis Kourou, adapter ses lanceurs Soyouz, le booster d'accélération Fregat, ainsi que les équipements terrestres au climat tropical humide du centre spatial guyanais et fournir et installer ses équipements et du combustible pour le booster Fregat et du kérosène pour le lanceur Soyouz. La France doit construire les installations et les équipements techniques du pas de tir de Soyouz, créer des conditions favorables pour le travail des spécialistes russes, fournir des transports et de l'électricité, signer les contrats et préparer les satellites étrangers qui seront mis en orbite par les Soyouz.
Le pas de tir russe en Guyane française doit permettre d'effectuer entre 2 et 4 tirs de Soyouz par an et deux lancements consécutifs à cinq semaines d'écart. Au total, au moins 50 tirs seront effectués depuis le centre guyanais en 15 ans.
Après les tests, la tour sera adaptée au climat tropical et envoyée en Guyane Française.
Un responsable de l'entreprise russe chargée de la réalisation du projet a annoncé plus tôt que le premier tir d'un lanceur moyen russe Soyouz-ST depuis Kourou qui devait être effectué pour le compte de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) à la fin de 2009 serait reporté au début de 2010 pour des raisons qui ne dépendent pas des spécialistes russes.
Dans le même temps, le directeur de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) Jean-Jacques Dordain a noté que le premier tir d'un Soyouz depuis Kourou serait effectué dans les délais prévus. Selon lui, le directeur de l'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos) Anatoli Perminov contrôle personnellement les travaux de préparation de la tour de service et le premier tir aura lieu à la fin de 2009, si on arrive à adapter la tour au climat tropical.
Le pas de tir équatorial des Soyouz-ST est pratiquement prêt. Il se trouve dans un endroit idéal - 5 degrés de longitude nord et 52 degrés de latitude ouest - non loin du site français destiné au lancement de la fusée-porteuse Ariane.
La Russie doit formuler les exigences concernant les pas de tir des Soyouz depuis Kourou, adapter ses lanceurs Soyouz, le booster d'accélération Fregat, ainsi que les équipements terrestres au climat tropical humide du centre spatial guyanais et fournir et installer ses équipements et du combustible pour le booster Fregat et du kérosène pour le lanceur Soyouz. La France doit construire les installations et les équipements techniques du pas de tir de Soyouz, créer des conditions favorables pour le travail des spécialistes russes, fournir des transports et de l'électricité, signer les contrats et préparer les satellites étrangers qui seront mis en orbite par les Soyouz.
Le pas de tir russe en Guyane française doit permettre d'effectuer entre 2 et 4 tirs de Soyouz par an et deux lancements consécutifs à cinq semaines d'écart. Au total, au moins 50 tirs seront effectués depuis le centre guyanais en 15 ans.