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"Une fois terminé le processus d'intégration de (Cuatro) et des entreprises liées, le groupe Telecinco s'apprête à mener un processus de réduction du personnel qui affectera, au total, 127 employés", explique l'entreprise dans un communiqué transmis à l'autorité boursière espagnole, la CNMV.
Prisa, qui avait réalisé cette vente pour alléger sa lourde dette de près de 5 milliards d'euros, a annoncé mardi la suppression de 2.500 emplois en Espagne, au Portugal et en Amérique latine, soit 18% de ses effectifs.
Telecinco est contrôlée par le groupe de médias Mediaset du président du conseil italien Silvio Berlusconi.
Elle avait reçu le 29 octobre le feu vert de l'autorité espagnole de la concurrence, la CNC, à l'absorption de sa rivale Cuatro, jusqu'à présent propriété de Prisa, une opération concomittante à la prise de 22% de son bouquet de télévision payante Digital+, approuvée elle le 10 novembre.
L'ensemble de la vente, qui incluait aussi la cession de 22% de Digital+ à Telefonica, a rapporté 976 millions d'euros à Prisa.
Une conséquence indirecte de cette opération a été la disparition de la chaîne CNN+ fin décembre, ni Prisa, qui l'exploitait jusque là, ni Telecinco, qui reprenait alors le canal, n'ayant l'intention de poursuivre sa diffusion. Ses quelque 190 employés, de même que les quelque 180 employés de Cuatro, devaient alors passer sous le giron de Telecinco.
Une disparition critiquée par la Fédération des associations de journalistes espagnols (Fape) qui avait déploré "la destruction de 3.496 postes de travail depuis novembre 2008" en Espagne et prévoyant que le nombre de journalistes au chômage dans le pays dépassera les 10.000 en 2011.
Prisa, qui avait réalisé cette vente pour alléger sa lourde dette de près de 5 milliards d'euros, a annoncé mardi la suppression de 2.500 emplois en Espagne, au Portugal et en Amérique latine, soit 18% de ses effectifs.
Telecinco est contrôlée par le groupe de médias Mediaset du président du conseil italien Silvio Berlusconi.
Elle avait reçu le 29 octobre le feu vert de l'autorité espagnole de la concurrence, la CNC, à l'absorption de sa rivale Cuatro, jusqu'à présent propriété de Prisa, une opération concomittante à la prise de 22% de son bouquet de télévision payante Digital+, approuvée elle le 10 novembre.
L'ensemble de la vente, qui incluait aussi la cession de 22% de Digital+ à Telefonica, a rapporté 976 millions d'euros à Prisa.
Une conséquence indirecte de cette opération a été la disparition de la chaîne CNN+ fin décembre, ni Prisa, qui l'exploitait jusque là, ni Telecinco, qui reprenait alors le canal, n'ayant l'intention de poursuivre sa diffusion. Ses quelque 190 employés, de même que les quelque 180 employés de Cuatro, devaient alors passer sous le giron de Telecinco.
Une disparition critiquée par la Fédération des associations de journalistes espagnols (Fape) qui avait déploré "la destruction de 3.496 postes de travail depuis novembre 2008" en Espagne et prévoyant que le nombre de journalistes au chômage dans le pays dépassera les 10.000 en 2011.
