Ce réseau, dont six membres ont été arrêtés et quatre écroués à une date non précisée, menaçait les proches des mineurs de les tuer ou de s'adonner au trafic de leurs organes s'ils ne leur payaient pas 5.000 dirhams (environ 460 euros), écrit la police nationale dans un communiqué.
Ils faisaient d'abord entrer clandestinement les mineurs en Espagne, puis les sequestraient, soit dès leur arrivée, soit après avoir été les chercher dans les centres de protection des mineurs. "Ils disposaient des contacts adéquats pour les en faire sortir le plus vite possible", selon le communiqué.
Plus de 7.000 mineurs, accompagnés ou non par leur famille, ont immigré en Espagne en 2018, selon un décompte de l'ONG andalouse APDHA, soit près du double qu'un an auparavant.
La plupart des mineurs non accompagnés présents en Espagne, notamment dans la région méridionale d'Andalousie et dans les villes de Ceuta et Melilla, sont marocains. Leur rapatriement fait l'objet de discussions entre Madrid et Rabat.
Ils faisaient d'abord entrer clandestinement les mineurs en Espagne, puis les sequestraient, soit dès leur arrivée, soit après avoir été les chercher dans les centres de protection des mineurs. "Ils disposaient des contacts adéquats pour les en faire sortir le plus vite possible", selon le communiqué.
Plus de 7.000 mineurs, accompagnés ou non par leur famille, ont immigré en Espagne en 2018, selon un décompte de l'ONG andalouse APDHA, soit près du double qu'un an auparavant.
La plupart des mineurs non accompagnés présents en Espagne, notamment dans la région méridionale d'Andalousie et dans les villes de Ceuta et Melilla, sont marocains. Leur rapatriement fait l'objet de discussions entre Madrid et Rabat.