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Comme les jours précédents, aucun des participants n'a subi de coup de corne, les deux blessés souffrant seulement de contusions. Ils ont été hospitalisés, a annoncé le gouvernement régional de Navarre.
Les six taureaux de l'élevage Torrestrella, de la région de Cadix (Andalousie), guidés par six boeufs, ont dévalé en deux minutes et 47 secondes le parcours de 848,6 mètres menant de leur enclos aux arènes de Pampelune, à travers d'étroites ruelles pavées aux dangereux virages.
Vêtus de la traditionnelle tenue blanche, leur foulard rouge autour du cou, les coureurs, vétérans de la tauromachie ou jeunes touristes inexpérimentés venus du monde entier, ont accompagné la cavalcade des taureaux, les plus téméraires essayant de s'approcher le plus près possible des bêtes de plus d'une demi-tonne.
"J'ai eu peur parce que les taureaux couraient vite et c'est difficile de se mettre devant les cornes", a raconté Jaime Silvestre, 26 ans, venu de Castellon (est) avec un groupe d'amis et participant pour la première fois à un encierro.
Pour encourager les coureurs, des grappes de spectateurs étaient massés contre des barrières en bois le long du parcours ou serrés sur les balcons des vieux immeubles bordant les rues.
Ces courses de taureaux, les plus célèbres et les plus spectaculaires d'Espagne, sont le clou des fêtes de la San Fermin, qui s'achèveront le 14 juillet après avoir attiré à Pampelune, la capitale de la Navarre, des centaines de milliers de passionnés, Espagnols ou touristes de nombreux pays.
Chaque soir, les six taureaux qui ont participé à la course sont mis à mort lors d'une corrida dans les arènes.
Les six taureaux de l'élevage Torrestrella, de la région de Cadix (Andalousie), guidés par six boeufs, ont dévalé en deux minutes et 47 secondes le parcours de 848,6 mètres menant de leur enclos aux arènes de Pampelune, à travers d'étroites ruelles pavées aux dangereux virages.
Vêtus de la traditionnelle tenue blanche, leur foulard rouge autour du cou, les coureurs, vétérans de la tauromachie ou jeunes touristes inexpérimentés venus du monde entier, ont accompagné la cavalcade des taureaux, les plus téméraires essayant de s'approcher le plus près possible des bêtes de plus d'une demi-tonne.
"J'ai eu peur parce que les taureaux couraient vite et c'est difficile de se mettre devant les cornes", a raconté Jaime Silvestre, 26 ans, venu de Castellon (est) avec un groupe d'amis et participant pour la première fois à un encierro.
Pour encourager les coureurs, des grappes de spectateurs étaient massés contre des barrières en bois le long du parcours ou serrés sur les balcons des vieux immeubles bordant les rues.
Ces courses de taureaux, les plus célèbres et les plus spectaculaires d'Espagne, sont le clou des fêtes de la San Fermin, qui s'achèveront le 14 juillet après avoir attiré à Pampelune, la capitale de la Navarre, des centaines de milliers de passionnés, Espagnols ou touristes de nombreux pays.
Chaque soir, les six taureaux qui ont participé à la course sont mis à mort lors d'une corrida dans les arènes.
