"Depuis deux ou trois mois, depuis qu'une nouvelle loi sur la transparence a été annoncée, nous avons dit que non seulement nous n'avions aucune objection mais que nous demandions à figurer dans la nouvelle loi", a affirmé un porte-parole de la Maison royale.
"Cela n'a rien à voir avec ce qui s'est passé ces derniers jours. Ce n'est pas lié à l'infante", a-t-il martelé. "C'est-à-dire que ce n'est pas parce que l'infante a été mise en cause que la Maison royale entre dans la loi sur la transparence", a-t-il encore souligné.
Le juge José Castro, qui mène depuis décembre 2011 l'instruction visant l'époux de l'infante Cristina, Iñaki Urdangarin, soupçonné d'avoir détourné avec son ex-associé plusieurs millions d'euros d'argent public, a impliqué mercredi la princesse, portant un coup très dur à l'image de la monarchie espagnole.
Il a accepté vendredi de reporter l'audition qu'il avait fixée au 27 avril, le temps qu'un recours contre la mise en cause de la fille du roi soit examiné.
Le gouvernement a pour sa part confirmé les discussions "depuis deux mois" avec la Maison royale. "Nous intensifierons la semaine prochaine les contacts avec les groupes parlementaires pour les informer de l'état de ces conversations pour pouvoir les inclure dans cette loi", a ajouté la porte-parole du gouvernement Soraya Saenz de Santamaria.
"Cela n'a rien à voir avec ce qui s'est passé ces derniers jours. Ce n'est pas lié à l'infante", a-t-il martelé. "C'est-à-dire que ce n'est pas parce que l'infante a été mise en cause que la Maison royale entre dans la loi sur la transparence", a-t-il encore souligné.
Le juge José Castro, qui mène depuis décembre 2011 l'instruction visant l'époux de l'infante Cristina, Iñaki Urdangarin, soupçonné d'avoir détourné avec son ex-associé plusieurs millions d'euros d'argent public, a impliqué mercredi la princesse, portant un coup très dur à l'image de la monarchie espagnole.
Il a accepté vendredi de reporter l'audition qu'il avait fixée au 27 avril, le temps qu'un recours contre la mise en cause de la fille du roi soit examiné.
Le gouvernement a pour sa part confirmé les discussions "depuis deux mois" avec la Maison royale. "Nous intensifierons la semaine prochaine les contacts avec les groupes parlementaires pour les informer de l'état de ces conversations pour pouvoir les inclure dans cette loi", a ajouté la porte-parole du gouvernement Soraya Saenz de Santamaria.