Un total de 4,137 millions de personnes se trouvaient au chômage à la fin du mois de juin, soit 126.700 de plus que trois mois plus tôt, selon l'institut national de la statistique (Ine).
Ce chiffre marque toutefois un ralentissement de la hausse de chômage, qui avait été très rapide entre décembre et mars, quand le taux était passé de 13,91% de la population active en décembre à 17,36% en mars.
Cette hausse modérée confirme partiellement les pronostics optimistes du gouvernement socialiste qui estime que le plus dur de la profonde crise économique que traverse le pays est passé.
Les chiffres diffusés chaque mois par le ministère du Travail (qui utilise une méthode de calcul différente de celle de l'Ine) montrent que le nombre de chômeurs a commencé à diminuer en mai et en juin, pour la première fois depuis plus d'un an.
Le nombre de chômeurs, au plus haut depuis le début de la série statistique de l'Ine en 1976, est devenu l'aspect le plus voyant de la récession dans laquelle est entrée le pays à la fin 2008.
Le gouvernement socialiste a estimé en juin que 2009 se terminera avec un taux de chômage de 17,9%, et qu'il augmentera à 18,9% en 2010.
L'éclatement de la bulle immobilière et la crise financière ont contracté l'économie du pays, détruisant de nombreux emplois.
Le nombre de personnes ayant un travail s'est établi à 18,945 millions à la fin du deuxième semestre, soit 145.800 de moins que trois mois plus tôt, et 1,48 million de moins qu'un an plus tôt.
Ce chiffre marque toutefois un ralentissement de la hausse de chômage, qui avait été très rapide entre décembre et mars, quand le taux était passé de 13,91% de la population active en décembre à 17,36% en mars.
Cette hausse modérée confirme partiellement les pronostics optimistes du gouvernement socialiste qui estime que le plus dur de la profonde crise économique que traverse le pays est passé.
Les chiffres diffusés chaque mois par le ministère du Travail (qui utilise une méthode de calcul différente de celle de l'Ine) montrent que le nombre de chômeurs a commencé à diminuer en mai et en juin, pour la première fois depuis plus d'un an.
Le nombre de chômeurs, au plus haut depuis le début de la série statistique de l'Ine en 1976, est devenu l'aspect le plus voyant de la récession dans laquelle est entrée le pays à la fin 2008.
Le gouvernement socialiste a estimé en juin que 2009 se terminera avec un taux de chômage de 17,9%, et qu'il augmentera à 18,9% en 2010.
L'éclatement de la bulle immobilière et la crise financière ont contracté l'économie du pays, détruisant de nombreux emplois.
Le nombre de personnes ayant un travail s'est établi à 18,945 millions à la fin du deuxième semestre, soit 145.800 de moins que trois mois plus tôt, et 1,48 million de moins qu'un an plus tôt.