"Nous trouvons pertinent de souligner que les soldats ne tueront que des musulmans dans les zones gouvernementales locales où l'état d'urgence a été décrété", a déclaré Abul Qaqa à des journalistes, lors d'une audio-conférence dimanche soir.
"Nous nous confronterons face-à-face pour protéger nos frères", a ajouté Abul Qaqa, qui a déjà parlé plusieurs fois au nom du groupe, menaçant également les Nigérians vivant dans le nord du pays, habité principalement par les musulmans, alors que le Sud est majoritairement chrétien.
"Nous souhaitons aussi appeler nos frères musulmans du Sud à revenir dans le Nord car nous avons la preuve qu'ils vont être attaqués", a-t-il ajouté parlant en langue Hausa, utilisée principalement dans le Nord.
Le président Goodluck Jonathan a déclaré samedi l'état d'urgence dans certaines zones particulièrement touchées par les violences de la secte Boko Haram.
Ces mesures interviennent après les attaques revendiquées par la secte qui avait fait une cinquantaine de morts le jour de Noël par une bombe à la sortie de la messe de la nativité.
"Nous nous confronterons face-à-face pour protéger nos frères", a ajouté Abul Qaqa, qui a déjà parlé plusieurs fois au nom du groupe, menaçant également les Nigérians vivant dans le nord du pays, habité principalement par les musulmans, alors que le Sud est majoritairement chrétien.
"Nous souhaitons aussi appeler nos frères musulmans du Sud à revenir dans le Nord car nous avons la preuve qu'ils vont être attaqués", a-t-il ajouté parlant en langue Hausa, utilisée principalement dans le Nord.
Le président Goodluck Jonathan a déclaré samedi l'état d'urgence dans certaines zones particulièrement touchées par les violences de la secte Boko Haram.
Ces mesures interviennent après les attaques revendiquées par la secte qui avait fait une cinquantaine de morts le jour de Noël par une bombe à la sortie de la messe de la nativité.