Le dirigeant américain s’exprimait au sujet des révoltes qui ont lieu à Minneapolis en réaction à la mort de George Floyd, un afro-américain, tué deux jours plus tôt durant une intervention de police.
Le poste de police où exerçaient les quatre fonctionnaires impliqués dans le décès du jeune homme a notamment été incendié dans la nuit.
« Soit le très faible maire de la gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j'envoie la garde nationale et je fais le travail correctement » a prévenu Donald Trump dans un premier tweet.
Le président américain, a ensuite estimé dans un second post, que « des voyous déshonorent la mémoire de George Floyd », avant d’utiliser une formule empruntée à un suprémaciste blanc et ancien chef de la police de Miami en 1967, Walter Headley, qui affirmait que « quand les pillages commencent, les fusillades commencent ».
Twitter a donc considéré que cette menace, d’ouvrir le feu sur les manifestants, constituait une violation des règles d’utilisation du réseau mais n’a pas supprimé le tweet en question, considérant qu’il comportait « un intérêt public ».
« Nous avons pris des mesures afin d'empêcher les autres d'être inspirés à commettre des actes de violence, mais nous avons conservé le Tweet sur Twitter, car il est important que le public puisse toujours voir le Tweet étant donné sa pertinence par rapport au contexte » explique le réseau social sur le compte officiel @TwitterComms.
Pour rappel, jeudi soir, Donald Trump a signé un décret ouvrant la porte à des plaintes contre les plateformes de réseaux sociaux auprès de la « Federal Trade Commission », qui sera encouragée à vérifier si les politiques de gestion de contenu des entreprises technologiques respectent leurs engagements de neutralité.
Il accuse Twitter et Facebook d’avoir « un pouvoir incontrôlé de censurer, restreindre, modifier, façonner, masquer et altérer pratiquement n'importe quelle forme de communication, qu’elle soit entre particuliers, ou destinée à un large public ».
Le poste de police où exerçaient les quatre fonctionnaires impliqués dans le décès du jeune homme a notamment été incendié dans la nuit.
« Soit le très faible maire de la gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j'envoie la garde nationale et je fais le travail correctement » a prévenu Donald Trump dans un premier tweet.
Le président américain, a ensuite estimé dans un second post, que « des voyous déshonorent la mémoire de George Floyd », avant d’utiliser une formule empruntée à un suprémaciste blanc et ancien chef de la police de Miami en 1967, Walter Headley, qui affirmait que « quand les pillages commencent, les fusillades commencent ».
Twitter a donc considéré que cette menace, d’ouvrir le feu sur les manifestants, constituait une violation des règles d’utilisation du réseau mais n’a pas supprimé le tweet en question, considérant qu’il comportait « un intérêt public ».
« Nous avons pris des mesures afin d'empêcher les autres d'être inspirés à commettre des actes de violence, mais nous avons conservé le Tweet sur Twitter, car il est important que le public puisse toujours voir le Tweet étant donné sa pertinence par rapport au contexte » explique le réseau social sur le compte officiel @TwitterComms.
Pour rappel, jeudi soir, Donald Trump a signé un décret ouvrant la porte à des plaintes contre les plateformes de réseaux sociaux auprès de la « Federal Trade Commission », qui sera encouragée à vérifier si les politiques de gestion de contenu des entreprises technologiques respectent leurs engagements de neutralité.
Il accuse Twitter et Facebook d’avoir « un pouvoir incontrôlé de censurer, restreindre, modifier, façonner, masquer et altérer pratiquement n'importe quelle forme de communication, qu’elle soit entre particuliers, ou destinée à un large public ».