Les quatre autres syndicats (sur les cinq participant à la négociation), CFDT, CFTC, CFE-CGC et FO ont émis un avis favorable.
Deux décrets du gouvernement sont attendus qui permettront d'étendre le chômage partiel à de nouvelles catégories de salariés.
L'un doit ouvrir la mesure aux employés de commerce, d'études notariales, et autres services ouverts au public. L'autre devrait augmenter les contingents annuels de chômage partiel autorisés, pour l'aligner sur les niveaux exceptionnels consentis dans l'automobile et le textile.
Pour la CGT, le texte ne donne pas voix au chapitre aux salariés et va assouplir les procédures de déclenchement du chômage partiel pour les entreprises "tout en évitant d'ouvrir le débat sur les conditions d'octroi des aides publiques". Le chômage partiel ouvre droit à une indemnisation pour le salarié, mais aussi à une allocation versée par l'Etat à l'entreprise.
La CGT exige "de conditionner les aides publiques en fonction de la réalité des difficultés rencontrées par les entreprises afin d'éviter les effets d'aubaine".
En outre, critique également la CGT, "le Medef a catégoriquement refusé que le chômage partiel soit reconnu comme du temps de travail effectif, ce qui aurait permis aux salariés en difficulté de garantir certains droits tels que les congés payés, les primes".
De plus, "la situation des demandeurs d'emploi en fin de droits a été écartée d'un revers de main".
Deux décrets du gouvernement sont attendus qui permettront d'étendre le chômage partiel à de nouvelles catégories de salariés.
L'un doit ouvrir la mesure aux employés de commerce, d'études notariales, et autres services ouverts au public. L'autre devrait augmenter les contingents annuels de chômage partiel autorisés, pour l'aligner sur les niveaux exceptionnels consentis dans l'automobile et le textile.
Pour la CGT, le texte ne donne pas voix au chapitre aux salariés et va assouplir les procédures de déclenchement du chômage partiel pour les entreprises "tout en évitant d'ouvrir le débat sur les conditions d'octroi des aides publiques". Le chômage partiel ouvre droit à une indemnisation pour le salarié, mais aussi à une allocation versée par l'Etat à l'entreprise.
La CGT exige "de conditionner les aides publiques en fonction de la réalité des difficultés rencontrées par les entreprises afin d'éviter les effets d'aubaine".
En outre, critique également la CGT, "le Medef a catégoriquement refusé que le chômage partiel soit reconnu comme du temps de travail effectif, ce qui aurait permis aux salariés en difficulté de garantir certains droits tels que les congés payés, les primes".
De plus, "la situation des demandeurs d'emploi en fin de droits a été écartée d'un revers de main".