Selon des documents que Capital dit avoir consultés, faute d’avoir déclaré au fisc ses revenus générés en France avant 2018, le réseau social s’est vu infliger un redressement “de 104 millions d’euros, dont 22 millions de pénalités” et “a finalement accepté le redressement proposé”.
“Cela a fait tomber dans le rouge la filiale française, qui affiche une perte de 88 millions d’euros, et des capitaux propres négatifs de 70 millions d’euros, selon ses comptes 2019”, est-il précisé dans cet article.
Interrogé par Reuters sur ces informations, un porte-parole de Facebook a dit ne pas être disponible dans l’immédiat pour les commenter.
De son côté, la Direction générale des Finances publiques (DGFiP), également contactée par Reuters, n’a pas souhaité faire de commentaires, évoquant le secret fiscal.
“Cela a fait tomber dans le rouge la filiale française, qui affiche une perte de 88 millions d’euros, et des capitaux propres négatifs de 70 millions d’euros, selon ses comptes 2019”, est-il précisé dans cet article.
Interrogé par Reuters sur ces informations, un porte-parole de Facebook a dit ne pas être disponible dans l’immédiat pour les commenter.
De son côté, la Direction générale des Finances publiques (DGFiP), également contactée par Reuters, n’a pas souhaité faire de commentaires, évoquant le secret fiscal.