Dans un message publié jeudi soir sur Facebook, Mark Zuckerberg déclare que le réseau social va modifier le filtre du flux d‘actualité pour donner la priorité aux contenus partagés par la famille et les amis, au détriment de ceux, non publicitaires, des marques et des médias.
Facebook, propriétaire de quatre des applications sur smartphones les plus populaires au monde, dont Instagram, a pendant des années privilégié les contenus auxquels les internautes étaient censés adhérer, suivant les résultats d‘algorithmes complexes, en se basant sur les commentaires, les “j‘aime” et d‘autres outils de manifestation d‘un intérêt quelconque.
Le cofondateur de Facebook a dit jeudi que le réseau allait changer son fusil d’épaule.
“Je change l‘objectif assigné à nos équipes de produits pour qu‘elles vous aident en premier lieu à trouver du contenu pertinent afin que vous bénéficiez d‘interactions sociales plus pertinentes”, écrit Mark Zuckerberg.
Ce changement signifie sans doute que le temps passé sur Facebook par les utilisateurs et certains indicateurs de leur adhésion vont à court terme diminuer, écrit-il, mais il estime que cela sera bénéfique à long terme pour les utilisateurs et l‘entreprise.
La publicité sur le réseau social ne sera pas affectée par ces modifications, indique John Hegeman, vice-président de Facebook.
On reproche aux algorithmes du premier réseau social d‘avoir pu privilégier les fausses informations dans les flux d‘actualités des utilisateurs, et influer sur l’élection présidentielle américaine de 2016, ainsi que sur le discours politique dans de nombreux autres pays.
Facebook avait révélé en 2016 que des agents russes avaient utilisé le réseau pour répandre des messages provocateurs dans le but d‘orienter l’électorat américain.
Le Congrès doit se pencher ce mois-ci sur le rôle des médias sociaux comme Facebook, Twitter et YouTube, filiale d‘Alphabet, la maison mère de Google, dans la diffusion de messages de propagande.
Mark Zuckerberg a déclaré qu‘une refonte des produits de la société, en commençant par les modifications apportées aux algorithmes qui contrôlent le fil d‘actualité, aiderait à répondre à ces préoccupations. Des changements similaires seront apportés à d‘autres produits dans les mois à venir, a-t-il ajouté.
“Nous assumons la responsabilité de veiller à ce que nos services ne soient pas seulement amusants à utiliser, mais aussi bons pour le bien-être des gens”, écrit-il.
Facebook revendique plus de deux milliards d‘utilisateurs mensuels. La société, dont l‘essentiel des revenus provient de la publicité, a dégagé l‘an dernier 36 milliards de dollars (29,9 milliards d‘euros) de chiffre d‘affaires.
Facebook, propriétaire de quatre des applications sur smartphones les plus populaires au monde, dont Instagram, a pendant des années privilégié les contenus auxquels les internautes étaient censés adhérer, suivant les résultats d‘algorithmes complexes, en se basant sur les commentaires, les “j‘aime” et d‘autres outils de manifestation d‘un intérêt quelconque.
Le cofondateur de Facebook a dit jeudi que le réseau allait changer son fusil d’épaule.
“Je change l‘objectif assigné à nos équipes de produits pour qu‘elles vous aident en premier lieu à trouver du contenu pertinent afin que vous bénéficiez d‘interactions sociales plus pertinentes”, écrit Mark Zuckerberg.
Ce changement signifie sans doute que le temps passé sur Facebook par les utilisateurs et certains indicateurs de leur adhésion vont à court terme diminuer, écrit-il, mais il estime que cela sera bénéfique à long terme pour les utilisateurs et l‘entreprise.
La publicité sur le réseau social ne sera pas affectée par ces modifications, indique John Hegeman, vice-président de Facebook.
On reproche aux algorithmes du premier réseau social d‘avoir pu privilégier les fausses informations dans les flux d‘actualités des utilisateurs, et influer sur l’élection présidentielle américaine de 2016, ainsi que sur le discours politique dans de nombreux autres pays.
Facebook avait révélé en 2016 que des agents russes avaient utilisé le réseau pour répandre des messages provocateurs dans le but d‘orienter l’électorat américain.
Le Congrès doit se pencher ce mois-ci sur le rôle des médias sociaux comme Facebook, Twitter et YouTube, filiale d‘Alphabet, la maison mère de Google, dans la diffusion de messages de propagande.
Mark Zuckerberg a déclaré qu‘une refonte des produits de la société, en commençant par les modifications apportées aux algorithmes qui contrôlent le fil d‘actualité, aiderait à répondre à ces préoccupations. Des changements similaires seront apportés à d‘autres produits dans les mois à venir, a-t-il ajouté.
“Nous assumons la responsabilité de veiller à ce que nos services ne soient pas seulement amusants à utiliser, mais aussi bons pour le bien-être des gens”, écrit-il.
Facebook revendique plus de deux milliards d‘utilisateurs mensuels. La société, dont l‘essentiel des revenus provient de la publicité, a dégagé l‘an dernier 36 milliards de dollars (29,9 milliards d‘euros) de chiffre d‘affaires.