Une porte-parole de Facebook a confirmé que dans le cadre de cette nouvelle politique de modération, le réseau social aurait ajouté un lien au post publié par le président américain Donald Trump le mois dernier au sujet du vote par correspondance. Twitter avait incité ses utilisateurs à vérifier la véracité de ce message.
Facebook est la cible de critiques de la part de certains de ses salariés et de parlementaires pour ne pas avoir pris de mesures à l’encontre de messages polémiques du dirigeant américain.
“Il n’y a pas d’exception pour les responsables politiques dans les politiques que j’annonce aujourd’hui”, explique le directeur général de Facebook Mark Zuckerberg dans un post.
Il ajoute que Facebook interdira également les publicités affirmant que les personnes de certaines origines, religions, orientations sexuelles ou ayant le statut d’immigrants constituent une menace pour la sécurité ou la santé.
Ce durcissement de la politique de modération intervient alors que les appels au boycott des publicités sur le réseau social prennent de l’ampleur.
Des groupes américains de défense des droits civils ont demandé aux marques de soutenir la campagne “Stop Hate for Profit”, qui proteste contre l’approche laxiste du plus grand réseau social du monde en matière de discours de haine, de harcèlement et de désinformation.
L’action de Facebook a clôturé vendredi en baisse de 8% et celle de Twitter a perdu 7% après qu’Unilever a annoncé suspendre ses publicités sur Facebook, Instagram et Twitter jusqu’à la fin de l’année, évoquant “des discours de haine et de division pendant cette période électorale polarisée aux Etats-Unis”.
Plus de 90 annonceurs dont la filiale américaine du constructeur automobile japonais Honda Motor, Ben & Jerry’s, Verizon Communications et The North Face prennent part au mouvement, selon une liste compilée par l’organisation Sleeping Giants.
Quelques heures après l’annonce de Facebook, Coca-Cola a déclaré qu’à compter du 1er juillet, il suspendrait ses publicités sur tous les réseaux sociaux pendant au moins 30 jours.
Facebook est la cible de critiques de la part de certains de ses salariés et de parlementaires pour ne pas avoir pris de mesures à l’encontre de messages polémiques du dirigeant américain.
“Il n’y a pas d’exception pour les responsables politiques dans les politiques que j’annonce aujourd’hui”, explique le directeur général de Facebook Mark Zuckerberg dans un post.
Il ajoute que Facebook interdira également les publicités affirmant que les personnes de certaines origines, religions, orientations sexuelles ou ayant le statut d’immigrants constituent une menace pour la sécurité ou la santé.
Ce durcissement de la politique de modération intervient alors que les appels au boycott des publicités sur le réseau social prennent de l’ampleur.
Des groupes américains de défense des droits civils ont demandé aux marques de soutenir la campagne “Stop Hate for Profit”, qui proteste contre l’approche laxiste du plus grand réseau social du monde en matière de discours de haine, de harcèlement et de désinformation.
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Plus de 90 annonceurs dont la filiale américaine du constructeur automobile japonais Honda Motor, Ben & Jerry’s, Verizon Communications et The North Face prennent part au mouvement, selon une liste compilée par l’organisation Sleeping Giants.
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