
Cette enquête révèle que les utilisateurs de Facebook font davantage confiance aux autres, ont davantage d'amis proches et sont généralement plus engagés politiquement.
"Il y a eu beaucoup de spéculation sur l'impact de la fréquentation des réseaux sociaux sur la vie sociale des gens, et le débat s'est largement concentré sur la possibilité que ces sites nuisent aux relations sociales de leurs utilisateurs, qu'ils les isolent du monde", écrit Keith Hampton, qui a coordonné l'enquête.
"Nous avons trouvé exactement le contraire: les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait des relations sociales plus développées et sont plus impliqués dans des activités civiques et politiques", ajoute-t-il.
Les sociologues du Pew Research Center ont interrogé 2.255 adultes sur leur utilisation de réseaux sociaux comme Facebook, MySpace, LinkedIn et Twitter.
L'étude menée à l'automne dernier confirme d'abord l'augmentation exponentielle de la fréquentation de ce type de sites internet. En 2008, une précédente enquête montrait que 26% de la population utilisait ces sites; trois ans plus tard, la proportion est passée à 47%.
Elle indique aussi que plus on fréquente Facebook, plus on fait confiance aux autres, un critère retenu par les chercheurs pour mesurer les relations sociales dans la vie réelle. Ainsi, la probabilité que quelqu'un qui se connecte plusieurs fois par jour sur le site communautaire estime que la plupart des gens sont dignes de confiance est trois fois plus élevée que pour les non-utilisateurs.
L'enquête souligne également que les utilisateurs de Facebook se sont davantage impliqués dans les élections américaines de mi-mandat, en novembre dernier. Ils sont deux fois et demie plus nombreux que les autres à avoir participé à une réunion politique, 43% plus nombreux à avoir dit qu'ils iraient voter.
Les chercheurs affirment enfin que les "Facebookers" retirent du site un soutien émotionnel équivalent à la moitié du soutien qu'un Américain moyen obtient de son conjoint.
"On utilise aujourd'hui les réseaux sociaux pour rester en contact avec ses meilleurs amis aussi bien qu'avec de lointaines connaissances", observe Lee Rainie, qui a participé à l'étude. "Il est clair que la communauté des individus connectés sur des réseaux continuera de changer puisque les plateformes et les utilisateurs continuent d'évoluer", ajoute-t-il.
"Il y a eu beaucoup de spéculation sur l'impact de la fréquentation des réseaux sociaux sur la vie sociale des gens, et le débat s'est largement concentré sur la possibilité que ces sites nuisent aux relations sociales de leurs utilisateurs, qu'ils les isolent du monde", écrit Keith Hampton, qui a coordonné l'enquête.
"Nous avons trouvé exactement le contraire: les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait des relations sociales plus développées et sont plus impliqués dans des activités civiques et politiques", ajoute-t-il.
Les sociologues du Pew Research Center ont interrogé 2.255 adultes sur leur utilisation de réseaux sociaux comme Facebook, MySpace, LinkedIn et Twitter.
L'étude menée à l'automne dernier confirme d'abord l'augmentation exponentielle de la fréquentation de ce type de sites internet. En 2008, une précédente enquête montrait que 26% de la population utilisait ces sites; trois ans plus tard, la proportion est passée à 47%.
Elle indique aussi que plus on fréquente Facebook, plus on fait confiance aux autres, un critère retenu par les chercheurs pour mesurer les relations sociales dans la vie réelle. Ainsi, la probabilité que quelqu'un qui se connecte plusieurs fois par jour sur le site communautaire estime que la plupart des gens sont dignes de confiance est trois fois plus élevée que pour les non-utilisateurs.
L'enquête souligne également que les utilisateurs de Facebook se sont davantage impliqués dans les élections américaines de mi-mandat, en novembre dernier. Ils sont deux fois et demie plus nombreux que les autres à avoir participé à une réunion politique, 43% plus nombreux à avoir dit qu'ils iraient voter.
Les chercheurs affirment enfin que les "Facebookers" retirent du site un soutien émotionnel équivalent à la moitié du soutien qu'un Américain moyen obtient de son conjoint.
"On utilise aujourd'hui les réseaux sociaux pour rester en contact avec ses meilleurs amis aussi bien qu'avec de lointaines connaissances", observe Lee Rainie, qui a participé à l'étude. "Il est clair que la communauté des individus connectés sur des réseaux continuera de changer puisque les plateformes et les utilisateurs continuent d'évoluer", ajoute-t-il.