Lancée en 2014, la rubrique "Trending", qui n'existe pas dans la version française de Facebook, est une petite pastille qui se trouve en haut à droite de la page et mentionne les sujets dont on parle le plus sur le réseau social.
Facebook avait expliqué que les thèmes étaient choisis par un algorithme, mais une enquête du site Gizmodo, publiée en mai 2016, avait montré que le service dédié fonctionnait, en réalité, comme une rédaction, qui opérait des choix éditoriaux affirmés.
Gizmodo avait montré que des consignes avaient été données par Facebook pour que des sujets soient intégrés aux tendances alors que l'algorithme ne les faisait pas ressortir.
Il s'agissait principalement de nouvelles traitées par les médias de référence.
Par ailleurs, l'enquête avait montré que certains des membres du service avaient pris sur eux d'écarter de la liste des personnalités conservatrices alors que leur nom faisait surface après application de l'algorithme.
Facebook et son PDG Mark Zuckerberg avaient démenti, à plusieurs reprises, plusieurs les conclusions de l'enquête, qui avaient suscité un tollé dans les milieux conservateurs.
Dans le message posté vendredi, le responsable des produits d'information au sein de Facebook, Alex Hardiman, ne mentionne pas cet épisode.
Il justifie la suppression de la rubrique "Trending", qui interviendra la semaine prochaine, par le fait que des études auraient montré, selon lui, que les utilisateurs trouvaient l'application "de moins en moins utile".
Il rappelle qu'elle n'était disponible que dans cinq pays et affirme qu'elle ne représentait que 1,5% des clics générés par les éditeurs de presse sur la plateforme.
Alex Hardiman explique que Facebook travaille actuellement à d'autres moyens "pour aider les gens à rester informés à propos des informations de dernière minute auxquelles ils s'intéressent".
Le réseau social mène ainsi actuellement un test avec 80 éditeurs de presse pour leur permettre de placer un indicateur "dernière minute" ou "breaking news" sur certains de leurs articles.
Facebook teste aussi la possibilité de proposer aux utilisateurs de s'abonner pour recevoir des alertes en cas de nouvelles informations urgentes.
La plateforme développe aussi avec les organisations de médias une offre d'informations locales.
Dernier volet, le réseau social annonce la création d'une section de sa plateforme vidéo Facebook Watch qui permettra aux utilisateurs de Facebook de suivre des événements en direct, d'avoir accès à des bulletins d'information et des contenus magazine exclusifs.
Facebook avait expliqué que les thèmes étaient choisis par un algorithme, mais une enquête du site Gizmodo, publiée en mai 2016, avait montré que le service dédié fonctionnait, en réalité, comme une rédaction, qui opérait des choix éditoriaux affirmés.
Gizmodo avait montré que des consignes avaient été données par Facebook pour que des sujets soient intégrés aux tendances alors que l'algorithme ne les faisait pas ressortir.
Il s'agissait principalement de nouvelles traitées par les médias de référence.
Par ailleurs, l'enquête avait montré que certains des membres du service avaient pris sur eux d'écarter de la liste des personnalités conservatrices alors que leur nom faisait surface après application de l'algorithme.
Facebook et son PDG Mark Zuckerberg avaient démenti, à plusieurs reprises, plusieurs les conclusions de l'enquête, qui avaient suscité un tollé dans les milieux conservateurs.
Dans le message posté vendredi, le responsable des produits d'information au sein de Facebook, Alex Hardiman, ne mentionne pas cet épisode.
Il justifie la suppression de la rubrique "Trending", qui interviendra la semaine prochaine, par le fait que des études auraient montré, selon lui, que les utilisateurs trouvaient l'application "de moins en moins utile".
Il rappelle qu'elle n'était disponible que dans cinq pays et affirme qu'elle ne représentait que 1,5% des clics générés par les éditeurs de presse sur la plateforme.
Alex Hardiman explique que Facebook travaille actuellement à d'autres moyens "pour aider les gens à rester informés à propos des informations de dernière minute auxquelles ils s'intéressent".
Le réseau social mène ainsi actuellement un test avec 80 éditeurs de presse pour leur permettre de placer un indicateur "dernière minute" ou "breaking news" sur certains de leurs articles.
Facebook teste aussi la possibilité de proposer aux utilisateurs de s'abonner pour recevoir des alertes en cas de nouvelles informations urgentes.
La plateforme développe aussi avec les organisations de médias une offre d'informations locales.
Dernier volet, le réseau social annonce la création d'une section de sa plateforme vidéo Facebook Watch qui permettra aux utilisateurs de Facebook de suivre des événements en direct, d'avoir accès à des bulletins d'information et des contenus magazine exclusifs.