En faisant état d’informations incomplètes sur les plaintes reçues, le réseau social a déformé la réalité, déclare l’Office fédéral de la justice, dans un communiqué publié mardi.
Facebook a déclaré avoir respecté ses obligations en matière de transparence concernant la loi “NetzDG” mais estime que certains de ses éléments “manquent de clarté”.
Le groupe américain a ajouté se réserver le droit de faire appel.
“Nous voulons supprimer aussi rapidement et efficacement que possible les discours de haine et nous travaillons dur pour y parvenir”, a déclaré un porte-parole de Facebook.
La loi allemande sur la transparence des réseaux impose aux plates-formes de médias sociaux de signaler le nombre de plaintes pour contenu illégal reçu.
Facebook, qui fait l’objet de multiples enquêtes dans le monde au sujet de la protection des données de ses utilisateurs et des contenus haineux ou des fausses informations qu’il peut véhiculer, s’est engagé dans une campagne visant à améliorer son image.
“Cela crée une image faussée de l’ampleur du contenu illégal sur la plate-forme et de la manière dont Facebook traite (le problème)”, souligne l’organe judiciaire allemand.
“Le rapport (de Facebook) ne contient qu’une fraction des plaintes relatives à des informations illégales.”
Facebook a déclaré avoir reçu 1.048 plaintes pour contenu illégal sur sa plate-forme au cours du second semestre 2018, selon le rapport sur la transparence remis à l’Office fédéral de la justice.
Par comparaison, Twitter et YouTube (propriété de Google) ont fait état tous les deux de plus de 250.000 plaintes sur l’ensemble de l’année.
Facebook a déclaré avoir respecté ses obligations en matière de transparence concernant la loi “NetzDG” mais estime que certains de ses éléments “manquent de clarté”.
Le groupe américain a ajouté se réserver le droit de faire appel.
“Nous voulons supprimer aussi rapidement et efficacement que possible les discours de haine et nous travaillons dur pour y parvenir”, a déclaré un porte-parole de Facebook.
La loi allemande sur la transparence des réseaux impose aux plates-formes de médias sociaux de signaler le nombre de plaintes pour contenu illégal reçu.
Facebook, qui fait l’objet de multiples enquêtes dans le monde au sujet de la protection des données de ses utilisateurs et des contenus haineux ou des fausses informations qu’il peut véhiculer, s’est engagé dans une campagne visant à améliorer son image.
“Cela crée une image faussée de l’ampleur du contenu illégal sur la plate-forme et de la manière dont Facebook traite (le problème)”, souligne l’organe judiciaire allemand.
“Le rapport (de Facebook) ne contient qu’une fraction des plaintes relatives à des informations illégales.”
Facebook a déclaré avoir reçu 1.048 plaintes pour contenu illégal sur sa plate-forme au cours du second semestre 2018, selon le rapport sur la transparence remis à l’Office fédéral de la justice.
Par comparaison, Twitter et YouTube (propriété de Google) ont fait état tous les deux de plus de 250.000 plaintes sur l’ensemble de l’année.