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Mark Zuckerberg
Les deux frères et leur ami Divy Narendra, qui revendiquent un rô le dans la création du réseau social, demandaient à la justice de déterminer si Facebook avait "intentionnellement ou par inadvertance supprimé des preuves" lors de négociations ayant mené en 2008 à un accord de plus de 65 millions de dollars avec M. Zuckerberg.
Mais dans un document remis jeudi au tribunal du Massachusetts (nord-est des Etats-Unis) en charge du dossier, ils reconnaissent que les termes de cet arrangement avec M. Zuckerberg impliquent que leur plainte soit annulée.
Un juge a donc ordonné que l'affaire soit close.
Les jumeaux avaient pourtant saisi en juin la justice un jour après avoir annoncé qu'ils renonçaient à demander l'annulation de cet accord.
Ils estiment qu'ils ont été trompés sur la valeur réelle des actions Facebook à cette époque: selon eux, ils auraient dû obtenir plus d'argent ou plus de parts du réseau social.
Dans le document remis jeudi, ils soulignent qu'ils "se réservent le droit de contester par la suite ce jugement".
Mais dans un document remis jeudi au tribunal du Massachusetts (nord-est des Etats-Unis) en charge du dossier, ils reconnaissent que les termes de cet arrangement avec M. Zuckerberg impliquent que leur plainte soit annulée.
Un juge a donc ordonné que l'affaire soit close.
Les jumeaux avaient pourtant saisi en juin la justice un jour après avoir annoncé qu'ils renonçaient à demander l'annulation de cet accord.
Ils estiment qu'ils ont été trompés sur la valeur réelle des actions Facebook à cette époque: selon eux, ils auraient dû obtenir plus d'argent ou plus de parts du réseau social.
Dans le document remis jeudi, ils soulignent qu'ils "se réservent le droit de contester par la suite ce jugement".
