L‘entreprise, qui compte plus de deux milliards d‘utilisateurs mensuels, entend avoir recours à des enquêtes pour déterminer le degré de fiabilité des sources d‘informations, ajoutant qu‘elle mettrait l‘accent sur les sources locales.
L‘initiative de Facebook est susceptible de bouleverser le paysage médiatique dans presque tous les pays de la planète étant donne l‘omniprésence du plus grande réseau social mondial et son rôle central dans la diffusion d‘informations.
Mark Zuckerberg, qui avait déjà annoncé son intention de lutter contre la désinformation dans la foulée de la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine de novembre 2016, a annoncé cette hiérarchisation sur un message posté sur Facebook.
Il a précisé que dès la semaine prochaine le fil d‘actualités de l‘entreprise, pièce maîtresse de Facebook, donnerait la priorité aux “nouvelles de bonne haute qualité” au détriment de sources moins dignes de confiance.
“Il y a trop de sensationnalisme, de désinformation et de polarisation dans le monde d‘aujourd‘hui”, écrit Mark Zuckerberg.
“Les réseaux sociaux permettent aux gens de faire circuler les informations plus vite que jamais et si nous ne nous attaquons pas spécifiquement à ces problèmes, nous finissons par les amplifier”, poursuit-il.
Lors de l’élection présidentielle américaine de 2016, Facebook avait été vivement critiqué pour avoir toléré la publication d‘une grande quantité de fausses informations avant le scrutin.
La société a également prise à partie par des élus républicains en 2016, estimant qu‘elle supprimait des informations susceptibles d‘intéresser des lecteurs conservateurs.
En septembre, Mark Zuckerberg avait noté que Donald Trump comme les opposants de gauche du président américain avaient été agacés par les idées et les commentaires propagés sur le réseau social durant la campagne électorale.
Facebook a précisé que les changements qui entreront en vigueur la semaine concerneront non seulement les liens postés par les organes de presse mais aussi les informations partagées par les utilisateurs.
Mark Zuckerberg a dit anticiper une baisse de 20% des informations circulant sur Facebook, ces dernières ne devant ainsi représenter plus qu‘environ 4% du contenu total du réseau social contre 5% actuellement.
Il a ajouté que, pour établir le classement en termes de fiabilité, Facebook avait fini par adopter l‘idée d‘enquêtes menées auprès des utilisateurs du réseau social après avoir rejeté la possibilité d‘une hiérarchie définie par ses propres soins.
“Nous avons décidé que la méthode la plus objective était de demander à la communauté de déterminer quelles sources étaient les plus fiables”, a dit Mark Zuckerberg.
L‘initiative de Facebook est susceptible de bouleverser le paysage médiatique dans presque tous les pays de la planète étant donne l‘omniprésence du plus grande réseau social mondial et son rôle central dans la diffusion d‘informations.
Mark Zuckerberg, qui avait déjà annoncé son intention de lutter contre la désinformation dans la foulée de la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine de novembre 2016, a annoncé cette hiérarchisation sur un message posté sur Facebook.
Il a précisé que dès la semaine prochaine le fil d‘actualités de l‘entreprise, pièce maîtresse de Facebook, donnerait la priorité aux “nouvelles de bonne haute qualité” au détriment de sources moins dignes de confiance.
“Il y a trop de sensationnalisme, de désinformation et de polarisation dans le monde d‘aujourd‘hui”, écrit Mark Zuckerberg.
“Les réseaux sociaux permettent aux gens de faire circuler les informations plus vite que jamais et si nous ne nous attaquons pas spécifiquement à ces problèmes, nous finissons par les amplifier”, poursuit-il.
Lors de l’élection présidentielle américaine de 2016, Facebook avait été vivement critiqué pour avoir toléré la publication d‘une grande quantité de fausses informations avant le scrutin.
La société a également prise à partie par des élus républicains en 2016, estimant qu‘elle supprimait des informations susceptibles d‘intéresser des lecteurs conservateurs.
En septembre, Mark Zuckerberg avait noté que Donald Trump comme les opposants de gauche du président américain avaient été agacés par les idées et les commentaires propagés sur le réseau social durant la campagne électorale.
Facebook a précisé que les changements qui entreront en vigueur la semaine concerneront non seulement les liens postés par les organes de presse mais aussi les informations partagées par les utilisateurs.
Mark Zuckerberg a dit anticiper une baisse de 20% des informations circulant sur Facebook, ces dernières ne devant ainsi représenter plus qu‘environ 4% du contenu total du réseau social contre 5% actuellement.
Il a ajouté que, pour établir le classement en termes de fiabilité, Facebook avait fini par adopter l‘idée d‘enquêtes menées auprès des utilisateurs du réseau social après avoir rejeté la possibilité d‘une hiérarchie définie par ses propres soins.
“Nous avons décidé que la méthode la plus objective était de demander à la communauté de déterminer quelles sources étaient les plus fiables”, a dit Mark Zuckerberg.