Le préfet avait ordonné cette fermeture pour “prévenir la commission d‘actes de terrorisme”, rappelle le Conseil d‘Etat dans un communiqué.
L‘Association des musulmans du boulevard National, artère où est située la mosquée, avait demandé une première fois en vain au tribunal administratif de Marseille de suspendre cette mesure avant de se tourner vers le Conseil d‘Etat.
Le président de l‘association n‘est autre que l‘imam, accusé d‘avoir diffusé dans ses prêches, notamment sur internet, des appels à la haine et à la violence contre les chrétiens, les juifs, les chiites et les personnes adultères.
“Les prêches de cet imam légitiment et glorifient le djihad”, ajoute le Conseil d‘Etat dans son communiqué, pour justifier sa décision de rejeter le recours de l‘association.
La juridiction souligne que la mosquée As Sounna “prône un islamisme radical dont l‘influence s’étend à l‘ensemble de la vie locale, en particulier aux plus jeunes”.
Il précise qu‘aux moins cinq fidèles de ce lieu de culte sont partis dans la zone irako-syrienne “faire le djihad”.
L‘Association des musulmans du boulevard National, artère où est située la mosquée, avait demandé une première fois en vain au tribunal administratif de Marseille de suspendre cette mesure avant de se tourner vers le Conseil d‘Etat.
Le président de l‘association n‘est autre que l‘imam, accusé d‘avoir diffusé dans ses prêches, notamment sur internet, des appels à la haine et à la violence contre les chrétiens, les juifs, les chiites et les personnes adultères.
“Les prêches de cet imam légitiment et glorifient le djihad”, ajoute le Conseil d‘Etat dans son communiqué, pour justifier sa décision de rejeter le recours de l‘association.
La juridiction souligne que la mosquée As Sounna “prône un islamisme radical dont l‘influence s’étend à l‘ensemble de la vie locale, en particulier aux plus jeunes”.
Il précise qu‘aux moins cinq fidèles de ce lieu de culte sont partis dans la zone irako-syrienne “faire le djihad”.