Pendant une semaine, les Parisiens ont eu l'occasion de visionner au Cinéma Elysées Lincoln quelque 30 films russes parmi lesquels "L'empire disparu" de Karen Chakhnazarov (dont l'action se passe à Moscou en 1973), "12" de Nikita Mikhalkov (remake du film de Sydney Lumet "12 Angry Men") et "Champ sauvage" de Mikhaïl Kalatozishvili (qui narre les aventures d'un jeune médecin dans la steppe kazakhe).
Les organisateurs ont présenté pour la première fois à Paris une rétrospective des films de Karen Chakhnazarov.
Cette année, les règles du festival ont changé: le jury n'a pas choisi de vainqueur parmi les films en lice pour le concours. Karen Chakhnazarov a reçu le grand prix pour sa contribution au cinéma russe et mondial et le compositeur de la musique du film Champ sauvage Alexeï Aïgui a obtenu un diplôme pour sa contribution artistique au cinéma.
Parmi les points faibles, on peut citer le nombre réduit de films nouveaux présentés, le festival manquant cruellement de films sous-titrés en français, difficiles à trouver à Paris, a déclaré dans une interview à RIA Novosti la présidente du festival Mireille Antoine, également directrice de la compagnie Les films de l'Audace.
L'année dernière, le festival a réuni presque le même nombre d'hôtes. Je voudrais qu'ils soient plus nombreux, mais pour cela nous avons besoin du soutien du ministère russe de la Culture, pour qu'il nous octroie les copies de nouveaux films sous-titrés en français, a poursuivi Mme Antoine, qui dit préférer le public russe au français, qui selon elle trouve toujours quelque chose à critiquer.
Les organisateurs ont présenté pour la première fois à Paris une rétrospective des films de Karen Chakhnazarov.
Cette année, les règles du festival ont changé: le jury n'a pas choisi de vainqueur parmi les films en lice pour le concours. Karen Chakhnazarov a reçu le grand prix pour sa contribution au cinéma russe et mondial et le compositeur de la musique du film Champ sauvage Alexeï Aïgui a obtenu un diplôme pour sa contribution artistique au cinéma.
Parmi les points faibles, on peut citer le nombre réduit de films nouveaux présentés, le festival manquant cruellement de films sous-titrés en français, difficiles à trouver à Paris, a déclaré dans une interview à RIA Novosti la présidente du festival Mireille Antoine, également directrice de la compagnie Les films de l'Audace.
L'année dernière, le festival a réuni presque le même nombre d'hôtes. Je voudrais qu'ils soient plus nombreux, mais pour cela nous avons besoin du soutien du ministère russe de la Culture, pour qu'il nous octroie les copies de nouveaux films sous-titrés en français, a poursuivi Mme Antoine, qui dit préférer le public russe au français, qui selon elle trouve toujours quelque chose à critiquer.