Commandé en février à Alain Auclaire par la ministre Christine Albanel, ce rapport sur la diffusion culturelle du cinéma et l'éducation à l'image fera l'objet "dans les prochaines semaines, d'une consultation de tous les acteurs concernés", indique le ministère dans un communiqué.
Il préconise de "moderniser le régime juridique et économique" des ciné-clubs et d'"ouvrir une réflexion pour définir des règles de comportement juridique et économique" des festivals de cinéma.
Le rapport passe également au crible les dispositifs éducatifs ("école et cinéma", "collège au cinéma", "lycéens et apprentis au cinéma") grâce auxquels 1,3 million de scolaires découvrent chaque année des films en salles, avec leurs enseignants.
Ceux-ci doivent être réorganisés, estime le rapport, qui préconise de transférer à l'Agence pour le développement régional du cinéma (ADRC) leur suivi effectif, tandis que le Centre national de la cinématographie (CNC) se contenterait de "définir" et d'"évaluer" la politique d'éducation au cinéma.
Une "plus grande ouverture" doit présider au "choix des films proposés" aux jeunes, ainsi qu'aux "méthodes d'accompagnement pédagogique" utilisées, dit aussi le rapport Auclaire.
Ces dispositifs doivent par ailleurs profiter à davantage d'élèves, estime le rapport, qui propose un objectif de hausse de 20% par an dans les cinq années à venir, conforme à "l'objectif de doublement fixé par le gouvernement".
Ex-président de l'École nationale supérieure des métiers de l'image et du son (Femis), Alain Auclaire est vice-président du comité d'histoire du ministère de la Culture.
Il préconise de "moderniser le régime juridique et économique" des ciné-clubs et d'"ouvrir une réflexion pour définir des règles de comportement juridique et économique" des festivals de cinéma.
Le rapport passe également au crible les dispositifs éducatifs ("école et cinéma", "collège au cinéma", "lycéens et apprentis au cinéma") grâce auxquels 1,3 million de scolaires découvrent chaque année des films en salles, avec leurs enseignants.
Ceux-ci doivent être réorganisés, estime le rapport, qui préconise de transférer à l'Agence pour le développement régional du cinéma (ADRC) leur suivi effectif, tandis que le Centre national de la cinématographie (CNC) se contenterait de "définir" et d'"évaluer" la politique d'éducation au cinéma.
Une "plus grande ouverture" doit présider au "choix des films proposés" aux jeunes, ainsi qu'aux "méthodes d'accompagnement pédagogique" utilisées, dit aussi le rapport Auclaire.
Ces dispositifs doivent par ailleurs profiter à davantage d'élèves, estime le rapport, qui propose un objectif de hausse de 20% par an dans les cinq années à venir, conforme à "l'objectif de doublement fixé par le gouvernement".
Ex-président de l'École nationale supérieure des métiers de l'image et du son (Femis), Alain Auclaire est vice-président du comité d'histoire du ministère de la Culture.