
Chuck Blazer
Selon un communiqué de la Concacaf publié à New York, l'auteur de la demande, Lisle Austin, qui exerce par interim les fonctions de Jack Warner, président de la Concacaf, depuis la suspension de ce dernier, n'a pas l'autorité pour renvoyer Chuck Blazer.
Jack Warner, également vice-président de la Fifa, a été suspendu par l'organisation pour la durée d'une enquête sur une fraude électorale présumée.
"Aujourd'hui, une déclaration non autorisée a été faite par Lisle Austin dans le but de destituer Chuck Blazer de son poste de secrétaire général de la Concacaf", indique le communiqué.
"Cette démarche a été entreprise sans s'appuyer sur la moindre autorité. Selon les statuts de la Concacaf, son secrétaire général relève uniquement de la juridiction du Comité exécutif, qui n'a engagé aucune action" dans ce sens. "Chuck Blazer continuera à exercer ses fonctions comme secrétaire général de la Concacaf avec toutes les responsabilités afférentes à sa charge", indique encore le communiqué.
Lisle Austin aurait écrit à Chuck Blazer l'informant de sa suspension en qualifiant ses accusations d'éventuelles fraudes éléctorales contre MM. Warner et Mohammed bin Hammam, président de la Confédération asiatique - suspendus provisoirement de la Fifa -, de "très mauvaise conduite".
Toute l'affaire est partie de propos rapportés le 24 mai au secrétaire général de la Fifa Jérô me Valcke par Chuck Blazer, membre du comité exécutif, sur de "possibles violations" du code éthique par des officiels de l'instance du football mondial.
M. Blazer aurait dénoncé en particulier une réunion de la Confédération du football caribéen, apparemment organisée par Warner et Bin Hammam, les 10 et 11 mai, en rapport avec l'élection présidentielle de mercredi à la Fifa afin d'entraver la réélection de Sepp Blatter.
Jack Warner, également vice-président de la Fifa, a été suspendu par l'organisation pour la durée d'une enquête sur une fraude électorale présumée.
"Aujourd'hui, une déclaration non autorisée a été faite par Lisle Austin dans le but de destituer Chuck Blazer de son poste de secrétaire général de la Concacaf", indique le communiqué.
"Cette démarche a été entreprise sans s'appuyer sur la moindre autorité. Selon les statuts de la Concacaf, son secrétaire général relève uniquement de la juridiction du Comité exécutif, qui n'a engagé aucune action" dans ce sens. "Chuck Blazer continuera à exercer ses fonctions comme secrétaire général de la Concacaf avec toutes les responsabilités afférentes à sa charge", indique encore le communiqué.
Lisle Austin aurait écrit à Chuck Blazer l'informant de sa suspension en qualifiant ses accusations d'éventuelles fraudes éléctorales contre MM. Warner et Mohammed bin Hammam, président de la Confédération asiatique - suspendus provisoirement de la Fifa -, de "très mauvaise conduite".
Toute l'affaire est partie de propos rapportés le 24 mai au secrétaire général de la Fifa Jérô me Valcke par Chuck Blazer, membre du comité exécutif, sur de "possibles violations" du code éthique par des officiels de l'instance du football mondial.
M. Blazer aurait dénoncé en particulier une réunion de la Confédération du football caribéen, apparemment organisée par Warner et Bin Hammam, les 10 et 11 mai, en rapport avec l'élection présidentielle de mercredi à la Fifa afin d'entraver la réélection de Sepp Blatter.