"Le bateau Dignité Al-Karama a été convoyé au port de Sitia, en Crète, par des gardes-cô tes grecs après avoir été intercepté à quai dans un port voisin au moment où il faisait le plein", a déclaré à l'AFP une porte-parole des organisateurs, Claude Léostic.
"Les autorités interdisent au bateau de prendre le large sous différents prétextes administratifs", a-t-elle précisé, interrogée par téléphone depuis Paris.
Selon le bureau de presse de la police portuaire à Athènes, le bateau "est arrivé dans la nuit de mercredi à jeudi au port de Sitia" et les autorités grecques "sont en train d'effectuer des contrô les".
Le Dignité Al-Karama a douze personnes à bord, dont Olivier Besancenot, du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) français, et Nicole Kiil-Nielsen, eurodéputée de la formation écologiste Europe-Ecologie-Les Verts (EELV).
Le bateau français a annoncé mercredi matin qu'il était parti pour Gaza en laissant derrière lui les neuf autres bateaux de la flottille pro-palestinienne, qui restaient bloqués en Grèce depuis vendredi dernier après une décision d'Athènes d'interdire le départ de tout bateau pour Gaza.
La Grèce, sous la pression d'Israël, qui a menacé d'utiliser la force contre la flottille, a justifié cette interdiction en invoquant la nécessité de "protéger les passagers".
"Les autorités interdisent au bateau de prendre le large sous différents prétextes administratifs", a-t-elle précisé, interrogée par téléphone depuis Paris.
Selon le bureau de presse de la police portuaire à Athènes, le bateau "est arrivé dans la nuit de mercredi à jeudi au port de Sitia" et les autorités grecques "sont en train d'effectuer des contrô les".
Le Dignité Al-Karama a douze personnes à bord, dont Olivier Besancenot, du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) français, et Nicole Kiil-Nielsen, eurodéputée de la formation écologiste Europe-Ecologie-Les Verts (EELV).
Le bateau français a annoncé mercredi matin qu'il était parti pour Gaza en laissant derrière lui les neuf autres bateaux de la flottille pro-palestinienne, qui restaient bloqués en Grèce depuis vendredi dernier après une décision d'Athènes d'interdire le départ de tout bateau pour Gaza.
La Grèce, sous la pression d'Israël, qui a menacé d'utiliser la force contre la flottille, a justifié cette interdiction en invoquant la nécessité de "protéger les passagers".