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Le même club de la troisième de la ville d’Angleterre, a pourtant livré, la veille, soit moins de 24 heures auparavant, un match comptant pour les quarts de finale de la coupe de la Ligue anglaise, face à Aston Villa.
Moins de 24 heures donc et à 7000 Kilomètres de distance, les « Reds » ont du faire don d’ubiquité pour honorer leurs engagements footballistiques aux plan local et mondial.
La cause de cet enchevêtrement des matchs et de cette quasi-simultanéité de leur déroulement est un calendrier chargé et les multiples compétitions auxquelles est engagé le club (Championnat d’Angleterre, Coupe de la Ligue, la FA Cup, Ligue des Champions, Coupe du monde des clubs).
Il s’agit d’un phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières saisons, à telle enseigne que certains entraîneurs montent au créneau et dénoncent un rythme infernal ; le dernier en date a été le technicien français, Rudy Garica, actuellement, à la barre technique de l’Olympique Lyonnais, qui a ouvertement critiqué cette « cadence inhumaine pour des joueurs de football ».
Pour revenir à Liverpool, les cadres et stars de l’équipe A, notamment, l’égyptien Mohamed Salah, le sénégalais Sadio Mané, le brésilien Firmino pour ne citer que ceux-là, ont fait le déplacement au pays du Golfe pour tenter de s’imposer et de remporter un titre qui manque au palmarès des Reds.
Pour la compétition locale, l’entraineur des ’ancien entraineur du Borussia Dortmund, Klopp a aligné une équipe des plus jeunes, avec une moyenne d’âge de 19 ans et 4 mois.
Parmi le onze rentrant des Reds, cinq joueurs ont débuté leur carrière professionnelle et les six autres, un mélange de réservistes et de jeunes inexpérimentés, n’ont jamais disputé plus de 6 matchs avec l’équipe A, dot des bouts de rencontres en coupe d’Angleterre ou de Premier League.
Pour la petite histoire, les jeunots de Liverpool se sont inclinés face aux « Villains » (méchants) , surnom de la formation d’Aston Villa, par le score sans appel de 5 à 0. Un gap séparait les jeunes expérimentés des Reds du club de Birmingham, actuel 17ème du championnat d’Angleterre.
Qualifié en huitièmes de finale de la présente édition de la Ligue des champions où il sera opposé à l’Atletico Madrid en février et mars prochains, Liverpool caracole en tête d’une Premier League qu’il n’a pas remporté depuis 1989, distançant le dauphin Leicester de 10 points au terme de la 17ème journée.
En cas de victoire, mercredi soir face à Monterrey, les protégés de l’entraîneur allemand Jurgen Klopp affronteront en finale les brésiliens de Flamengo qui ont battu en demi-finale, mardi, par 3 buts à 1, le club saoudien d‘al-Hilal, qui n’a pas démérité.
Moins de 24 heures donc et à 7000 Kilomètres de distance, les « Reds » ont du faire don d’ubiquité pour honorer leurs engagements footballistiques aux plan local et mondial.
La cause de cet enchevêtrement des matchs et de cette quasi-simultanéité de leur déroulement est un calendrier chargé et les multiples compétitions auxquelles est engagé le club (Championnat d’Angleterre, Coupe de la Ligue, la FA Cup, Ligue des Champions, Coupe du monde des clubs).
Il s’agit d’un phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières saisons, à telle enseigne que certains entraîneurs montent au créneau et dénoncent un rythme infernal ; le dernier en date a été le technicien français, Rudy Garica, actuellement, à la barre technique de l’Olympique Lyonnais, qui a ouvertement critiqué cette « cadence inhumaine pour des joueurs de football ».
Pour revenir à Liverpool, les cadres et stars de l’équipe A, notamment, l’égyptien Mohamed Salah, le sénégalais Sadio Mané, le brésilien Firmino pour ne citer que ceux-là, ont fait le déplacement au pays du Golfe pour tenter de s’imposer et de remporter un titre qui manque au palmarès des Reds.
Pour la compétition locale, l’entraineur des ’ancien entraineur du Borussia Dortmund, Klopp a aligné une équipe des plus jeunes, avec une moyenne d’âge de 19 ans et 4 mois.
Parmi le onze rentrant des Reds, cinq joueurs ont débuté leur carrière professionnelle et les six autres, un mélange de réservistes et de jeunes inexpérimentés, n’ont jamais disputé plus de 6 matchs avec l’équipe A, dot des bouts de rencontres en coupe d’Angleterre ou de Premier League.
Pour la petite histoire, les jeunots de Liverpool se sont inclinés face aux « Villains » (méchants) , surnom de la formation d’Aston Villa, par le score sans appel de 5 à 0. Un gap séparait les jeunes expérimentés des Reds du club de Birmingham, actuel 17ème du championnat d’Angleterre.
Qualifié en huitièmes de finale de la présente édition de la Ligue des champions où il sera opposé à l’Atletico Madrid en février et mars prochains, Liverpool caracole en tête d’une Premier League qu’il n’a pas remporté depuis 1989, distançant le dauphin Leicester de 10 points au terme de la 17ème journée.
En cas de victoire, mercredi soir face à Monterrey, les protégés de l’entraîneur allemand Jurgen Klopp affronteront en finale les brésiliens de Flamengo qui ont battu en demi-finale, mardi, par 3 buts à 1, le club saoudien d‘al-Hilal, qui n’a pas démérité.
