Le jury disciplinaire de la CAF s'est réuni le 5 août dernier afin de "statuer sur les allégations de corruption visant les arbitres concernés et relayées pas les médias", précise la CAF dans le communiqué, notant que le jury a décidé de "l’exclusion à vie de toute activité liée au football de la CAF" de l’arbitre assistant David Laryea.
Pour les sept autres, dont certains sont titulaires et d'autres arbitres assistants, le jury a décidé une suspension de 10 années, rapporte la même source.
Quatorze autres arbitres, dont 4 Ghanéens, 4 Congolais, 1 Béninois, 1 Libérien, 1 Sénégalais, 1 Guinéen, 1 Bissau-guinéen et 1 Malgache ont été "provisoirement suspendus" en attendant l’examen de leurs cas lors de la prochaine réunion du jury disciplinaire, précise le communiqué.
La CAF n’a, toutefois, pas donné plus de détails sur les actes de corruption reprochés aux différents arbitres.
Joint par Anadolu, Abdou Rafa, responsable d’un club de football nigérien et journaliste sportif, a expliqué que ces sanctions ont, sans doute, été décidées à l'issue une enquête menée par la presse ghanéenne en 2017, en marge de la coupe de l’Union des fédérations ouest-africaines (UFOA).
"Cette enquête avait révélé de graves cas de corruption dans le milieu footballistique africain. Mis en cause dans cette enquête, le président de la fédération ghanéenne de football, Kwesi Nyantakyi a été contraint a démissionner", a-t-il ajouté.
Le 7 juillet dernier, le même jury disciplinaire a lourdement sanctionné 11 autres arbitres de diverses nationalités pour les mêmes accusations de corruption.
C’est la première fois que des sanctions aussi lourdes et massives sont prises par la CAF dirigée depuis mars 2017 par le malgache Ahmad Ahmad.
Pour les sept autres, dont certains sont titulaires et d'autres arbitres assistants, le jury a décidé une suspension de 10 années, rapporte la même source.
Quatorze autres arbitres, dont 4 Ghanéens, 4 Congolais, 1 Béninois, 1 Libérien, 1 Sénégalais, 1 Guinéen, 1 Bissau-guinéen et 1 Malgache ont été "provisoirement suspendus" en attendant l’examen de leurs cas lors de la prochaine réunion du jury disciplinaire, précise le communiqué.
La CAF n’a, toutefois, pas donné plus de détails sur les actes de corruption reprochés aux différents arbitres.
Joint par Anadolu, Abdou Rafa, responsable d’un club de football nigérien et journaliste sportif, a expliqué que ces sanctions ont, sans doute, été décidées à l'issue une enquête menée par la presse ghanéenne en 2017, en marge de la coupe de l’Union des fédérations ouest-africaines (UFOA).
"Cette enquête avait révélé de graves cas de corruption dans le milieu footballistique africain. Mis en cause dans cette enquête, le président de la fédération ghanéenne de football, Kwesi Nyantakyi a été contraint a démissionner", a-t-il ajouté.
Le 7 juillet dernier, le même jury disciplinaire a lourdement sanctionné 11 autres arbitres de diverses nationalités pour les mêmes accusations de corruption.
C’est la première fois que des sanctions aussi lourdes et massives sont prises par la CAF dirigée depuis mars 2017 par le malgache Ahmad Ahmad.