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"Nous sommes en train de finaliser" la réforme, "nous avons encore un peu de travail. D'ici 15 jours, nous devrions pouvoir sortir le détail des maquettes de masters", a déclaré M. Chatel.
Après la place des concours et leurs épreuves, sur lesquels M. Chatel a rendu des arbitrages avec sa collègue de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse, l'architecture générale des masters que devront suivre les futurs candidats à l'enseignement constitue le dernier élément central de la réforme.
"Il y a des discussions en cours. Je crois à la négociation et à l'échange", a ajouté M. Chatel.
Les arbitrages sur la place des concours, prévue pendant l'année de master 2, et sur leurs épreuves, à dominante disciplinaire, ont été présentées aux syndicats vendredi dernier et suscité de vives critiques, hormis de la part du Snes-FSU, premier syndicat des collèges et lycées.
Les syndicats estiment que l'aspect pédagogique de la formation va être affaiblie et que l'année de master 2 sera trop chargée pour les étudiants. Sur ces sujets, ils regrettent un manque de "concertation" avec eux.
La réforme, dite "masterisation" car elle prévoit de recruter les futurs enseignants au niveau master 2 (bac+5), avait été l'un des motifs centraux de la contestation universitaire du printemps. Repoussée d'un an, elle doit maintenant entrer en vigueur à la rentrée 2010.
Sur France Inter, M. Chatel a défendu le choix de placer l'épreuve d'admissibilité des concours en début de M2: c'est "suffisamment tôt pour approfondir pendant l'année de master 2 les aspects pédagogiques" de la formation et pour permettre aux candidats qui auront échouer aux concours de pouvoir "se réorienter".
Les épreuves d'admissibilité sont prévues en septembre de l'année du M2 pour les futurs professeurs des écoles et en décembre pour ceux des collèges et lycées, l'admission étant en fin d'année.
Après la place des concours et leurs épreuves, sur lesquels M. Chatel a rendu des arbitrages avec sa collègue de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse, l'architecture générale des masters que devront suivre les futurs candidats à l'enseignement constitue le dernier élément central de la réforme.
"Il y a des discussions en cours. Je crois à la négociation et à l'échange", a ajouté M. Chatel.
Les arbitrages sur la place des concours, prévue pendant l'année de master 2, et sur leurs épreuves, à dominante disciplinaire, ont été présentées aux syndicats vendredi dernier et suscité de vives critiques, hormis de la part du Snes-FSU, premier syndicat des collèges et lycées.
Les syndicats estiment que l'aspect pédagogique de la formation va être affaiblie et que l'année de master 2 sera trop chargée pour les étudiants. Sur ces sujets, ils regrettent un manque de "concertation" avec eux.
La réforme, dite "masterisation" car elle prévoit de recruter les futurs enseignants au niveau master 2 (bac+5), avait été l'un des motifs centraux de la contestation universitaire du printemps. Repoussée d'un an, elle doit maintenant entrer en vigueur à la rentrée 2010.
Sur France Inter, M. Chatel a défendu le choix de placer l'épreuve d'admissibilité des concours en début de M2: c'est "suffisamment tôt pour approfondir pendant l'année de master 2 les aspects pédagogiques" de la formation et pour permettre aux candidats qui auront échouer aux concours de pouvoir "se réorienter".
Les épreuves d'admissibilité sont prévues en septembre de l'année du M2 pour les futurs professeurs des écoles et en décembre pour ceux des collèges et lycées, l'admission étant en fin d'année.
