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Candice Marchal est soupçonnée d'avoir consulté, sans autorisation, des données informatiques confidentielles dans le serveur de l'AEF, groupe qui coiffe la chaine de télévision France 24, Radio France Internationale (RFI) et une partie de TV5-Monde.
Dans son ordinateur, 2,5 millions de fichiers provenant de cinq serveurs des ordinateurs de différents dirigeants du groupe ont été découverts. Une plainte en justice a été déposée et elle fait l'objet d'une procédure de licenciement de France 24.
L'AEF est secouée par cette affaire d'espionnage interne depuis début décembre et par une motion de défiance à l'égard de Mme Ockrent.
"Je n'ai espionné personne pour le compte de personne. Et surtout pas pour Christine Ockrent", affirme Candice Marchal qui se décrit comme "une marionnette dans les mains des adversaires de la N.2 de l'AEF. "On se sert de moi pour lui nuire", a-t-elle poursuivi, annonçant qu'elle déposerait lundi deux plaintes.
"Je n'ai jamais copié ces documents", affirme Candice Marchal qui évoque "une possibilité que le disque dur remis à la police pour l'enquête ne soit pas le mien".
"Je ne suis jamais allée sur l'ordinateur de qui que ce soit. Je n'ai jamais eu accès à des documents personnels. Tout cela, c'est de la calomnie", a-t-elle affirmé, réfutant "absolument" tout fait d'espionnage.
Candice Marchal a relativisé sa proximité avec Mme Ockrent: "Je travaille avec elle depuis plus de dix ans. Nous avons une proximité professionnelle, mais je ne suis jamais allée chez elle..."
Les salariés de France 24 ont signé à 85% une motion de défiance contre Mme Ockrent, qui est en conflit ouvert avec son patron Alain de Pouzilhac.
Les dirigeants de France 24 jugent que Mme Ockrent qui a exclu toute démission, est à l'origine de la crise. Ils ont annoncé qu'ils boycotteraient les réunions en sa présence.
Dans son ordinateur, 2,5 millions de fichiers provenant de cinq serveurs des ordinateurs de différents dirigeants du groupe ont été découverts. Une plainte en justice a été déposée et elle fait l'objet d'une procédure de licenciement de France 24.
L'AEF est secouée par cette affaire d'espionnage interne depuis début décembre et par une motion de défiance à l'égard de Mme Ockrent.
"Je n'ai espionné personne pour le compte de personne. Et surtout pas pour Christine Ockrent", affirme Candice Marchal qui se décrit comme "une marionnette dans les mains des adversaires de la N.2 de l'AEF. "On se sert de moi pour lui nuire", a-t-elle poursuivi, annonçant qu'elle déposerait lundi deux plaintes.
"Je n'ai jamais copié ces documents", affirme Candice Marchal qui évoque "une possibilité que le disque dur remis à la police pour l'enquête ne soit pas le mien".
"Je ne suis jamais allée sur l'ordinateur de qui que ce soit. Je n'ai jamais eu accès à des documents personnels. Tout cela, c'est de la calomnie", a-t-elle affirmé, réfutant "absolument" tout fait d'espionnage.
Candice Marchal a relativisé sa proximité avec Mme Ockrent: "Je travaille avec elle depuis plus de dix ans. Nous avons une proximité professionnelle, mais je ne suis jamais allée chez elle..."
Les salariés de France 24 ont signé à 85% une motion de défiance contre Mme Ockrent, qui est en conflit ouvert avec son patron Alain de Pouzilhac.
Les dirigeants de France 24 jugent que Mme Ockrent qui a exclu toute démission, est à l'origine de la crise. Ils ont annoncé qu'ils boycotteraient les réunions en sa présence.
