"C'est une démarche conforme à ce qu'est la France. J'espère que le Conseil constitutionnel fera le nécessaire", a dit M. Erdogan aux journalistes, cité par l'agence de presse Anatolie.
"Je tiens à remercier du fond du coeur en personne et au nom du peuple (turc) les sénateurs et les députés qui ont signé" ce recours contre le texte, a-t-il dit.
Le président turc Abdullah Gí¼l a pour sa part souligné qu'il ne pensait pas depuis le déclenchement du processus parlementaire en France pour l'adoption de ce texte que "les Français porteraient un tel ombrage à leur pays".
"Maintenant, je pense que le Conseil constitutionnel va rendre un bon jugement", a-t-il déclaré, selon Anatolie.
Le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu s'est également félicité du recours. "Avec cette démarche, les sénateurs français ont défendu les valeurs qu'ils affectionnent", a-t-il déclaré.
Après le vote du texte par l'Assemblée nationale en fin d'année dernière, la Turquie avait suspendu sa coopération politique et militaire avec la France.
Après le vote au Sénat, elle avait promis de nouvelles représailles, si la loi était promulguée par le président Nicolas Sarkozy.
"Je tiens à remercier du fond du coeur en personne et au nom du peuple (turc) les sénateurs et les députés qui ont signé" ce recours contre le texte, a-t-il dit.
Le président turc Abdullah Gí¼l a pour sa part souligné qu'il ne pensait pas depuis le déclenchement du processus parlementaire en France pour l'adoption de ce texte que "les Français porteraient un tel ombrage à leur pays".
"Maintenant, je pense que le Conseil constitutionnel va rendre un bon jugement", a-t-il déclaré, selon Anatolie.
Le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu s'est également félicité du recours. "Avec cette démarche, les sénateurs français ont défendu les valeurs qu'ils affectionnent", a-t-il déclaré.
Après le vote du texte par l'Assemblée nationale en fin d'année dernière, la Turquie avait suspendu sa coopération politique et militaire avec la France.
Après le vote au Sénat, elle avait promis de nouvelles représailles, si la loi était promulguée par le président Nicolas Sarkozy.