Macron a lancé cet appel dans un discours prononcé depuis Saint-Raphaël (sud est) pour le 75ème anniversaire du débarquement de Provence.
Lors de son allocution, le chef de l’Etat s’est attelé à rendre hommage aux "tirailleurs marocains, tunisiens, algériens. Aux Zouaves et aux tirailleurs sénégalais qui venaient en fait de toute l’Afrique subsaharienne".
"La France a une part d'Afrique en elle" a insisté Emmanuel Macron face à l’assemblée dans laquelle se trouvaient notamment le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue guinéen Alpha Condé.
Et le chef de l’Etat de préciser: "cette part fut celle du sang versé (...) les vies de ces héros d'Afrique doivent faire partie de nos vies de citoyens libres parce que sans eux nous ne le serions pas".
Il a rappelé que les soldats africains "sont des milliers à s'être sacrifiés pour défendre une terre lointaine, une terre souvent inconnue, une terre jusqu'alors jamais foulée, une terre à laquelle ils ont à jamais mêlé leur sang".
Emmanuel Macron estime qu’ils ont "redonné (...) sa liberté et sa dignité" à la France.
Pour mémoire "dans la nuit du 14 au 15 août 1944, 600 volontaires issus des commandos d’Afrique arrivent au Cap Nègre en escaladant des falaises" souligne l’Elysée sur son site internet, précisant que "pendant que les Allemands sont occupés à les neutraliser, d’autres soldats alliés s’emparent de la zone et libèrent le passage".
La présidence française relate par ailleurs que dans la matinée du 15 août « près de 95 000 soldats alliés lancent simultanément un assaut sur 18 plages entre Cavalaire et Saint-Raphaël. En supériorité numérique et aidés par la Résistance qui prépare ce Jour J depuis des semaines, le succès des alliés est rapide. »
Cet épisode a conduit à la libération de Cogolin, Grimaud, Sainte-Maxime et Saint-Tropez a la veille du débarquement de l’armée française en Provence.
Lors de son allocution, le chef de l’Etat s’est attelé à rendre hommage aux "tirailleurs marocains, tunisiens, algériens. Aux Zouaves et aux tirailleurs sénégalais qui venaient en fait de toute l’Afrique subsaharienne".
"La France a une part d'Afrique en elle" a insisté Emmanuel Macron face à l’assemblée dans laquelle se trouvaient notamment le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue guinéen Alpha Condé.
Et le chef de l’Etat de préciser: "cette part fut celle du sang versé (...) les vies de ces héros d'Afrique doivent faire partie de nos vies de citoyens libres parce que sans eux nous ne le serions pas".
Il a rappelé que les soldats africains "sont des milliers à s'être sacrifiés pour défendre une terre lointaine, une terre souvent inconnue, une terre jusqu'alors jamais foulée, une terre à laquelle ils ont à jamais mêlé leur sang".
Emmanuel Macron estime qu’ils ont "redonné (...) sa liberté et sa dignité" à la France.
Pour mémoire "dans la nuit du 14 au 15 août 1944, 600 volontaires issus des commandos d’Afrique arrivent au Cap Nègre en escaladant des falaises" souligne l’Elysée sur son site internet, précisant que "pendant que les Allemands sont occupés à les neutraliser, d’autres soldats alliés s’emparent de la zone et libèrent le passage".
La présidence française relate par ailleurs que dans la matinée du 15 août « près de 95 000 soldats alliés lancent simultanément un assaut sur 18 plages entre Cavalaire et Saint-Raphaël. En supériorité numérique et aidés par la Résistance qui prépare ce Jour J depuis des semaines, le succès des alliés est rapide. »
Cet épisode a conduit à la libération de Cogolin, Grimaud, Sainte-Maxime et Saint-Tropez a la veille du débarquement de l’armée française en Provence.