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"Suite aux nuits de violences répétées, le maire de Toulouse (Sud-Ouest), Jean-Luc Moudenc et le Préfet de Haute Garonne, Pascal Mailhos étudient les conditions juridiques pour l’instauration d’un couvre-feu pour mineurs dans les quartiers concernés", a fait savoir, mercredi, le site d'information Toulouseinfos.fr
En effet, les hostilités dans cette ville perdurent dans le quartier du Mirail et de Bagatelle pour la troisième nuit consécutive.
"La nuit du mardi 17 au mercredi 18 avril n’a pas été de tout repos pour les forces de l’ordre, qui ont été visées par des projectiles. Au total, 12 containers à ordures et 29 véhicules ont été incendiés. La police a procédé à 5 interpellations de plus", indique la même source.
Les chaînes de télévision qui étaient sur place montraient des scènes de violences et des voitures brûlées. La police utilisait des bombes lacrymogènes pour disperser les émeutiers.
Dimanche, 18 personnes ont été interpellées pour «outrage et destruction de biens par incendie» avaient rapporté les médias français.
La préfecture de la Haute-Garonne avait annoncé dès dimanche 15 avril, l'interdiction de la vente d’essence en jerrycan jusqu’à mercredi soir. Malgré cette interdiction, les affrontements continuent dans plusieurs quartiers.
Pour rappel, l’origine de ces affrontements serait liée à la mort, dans la nuit de samedi à dimanche derniers, d’un détenu de la maison d’arrêt de Seysses, située au sud de Toulouse.
Jusqu’à présent, les circonstances de son décès restent inconnues.
En effet, les hostilités dans cette ville perdurent dans le quartier du Mirail et de Bagatelle pour la troisième nuit consécutive.
"La nuit du mardi 17 au mercredi 18 avril n’a pas été de tout repos pour les forces de l’ordre, qui ont été visées par des projectiles. Au total, 12 containers à ordures et 29 véhicules ont été incendiés. La police a procédé à 5 interpellations de plus", indique la même source.
Les chaînes de télévision qui étaient sur place montraient des scènes de violences et des voitures brûlées. La police utilisait des bombes lacrymogènes pour disperser les émeutiers.
Dimanche, 18 personnes ont été interpellées pour «outrage et destruction de biens par incendie» avaient rapporté les médias français.
La préfecture de la Haute-Garonne avait annoncé dès dimanche 15 avril, l'interdiction de la vente d’essence en jerrycan jusqu’à mercredi soir. Malgré cette interdiction, les affrontements continuent dans plusieurs quartiers.
Pour rappel, l’origine de ces affrontements serait liée à la mort, dans la nuit de samedi à dimanche derniers, d’un détenu de la maison d’arrêt de Seysses, située au sud de Toulouse.
Jusqu’à présent, les circonstances de son décès restent inconnues.
